Bonjour
Good morning
Guten tag
Goede dag
Buongiorno
Bom dia
Buen dia
Mirëdita
Egun on
Bon jou
Dobar dan
God dag
Hyvä päivä
Dea-là
Jum Tajba
God dag
God dag
Dobryy den' (prononciation)
Et voici 18 façons de vous le dire.
Et pourtant, lors de mes footing pendant mes vacances, au détour d'une centaine de rencontres, je ne l'ai entendu que trois fois.
Epoque de "BIP"
Je voulais juste vous dire bonjour.
, le 27.08.2014 à 01:11
Extra… demain le mot « merci » en 2’000 langues.
T
, le 27.08.2014 à 04:27
Pour meubler, je vous conseille le site d’Ikea :)
, le 27.08.2014 à 06:09
« Dehors », est-ce aussi traduisible dans toutes les langues ?
:-)
, le 27.08.2014 à 08:10
Dur mais lucide Renaud !
, le 27.08.2014 à 08:23
J’iamias bine l’époque de la révolution française, ou pour se saluer on disait:
Salut et Fraternité.
D’autres aspects de cett révolution étaient nettement moins plaisants.
, le 27.08.2014 à 08:32
@Renaud, j’ai un peu de mal à suivre.
, le 27.08.2014 à 08:34
Bonjour Ysengrain, on parie que tu ne portais pas encore tes lunettes ce matin à 8h23? Il y a des matins où je ne mets pas la main non plus sur les miennes du premier coup …
Quant aux rares « Bonjour » dont fait état cvanquick, il faut comprendre que la plupart des joggeurs ou autres adeptes de footing ou de course ne sont, en fait, pas du tout — je devrais dire jamais — en train de contempler le paysage ou les autres humains qu’ils croisent ou dépassent. Ils les voient juste ce qu’il faut pour ne pas les heurter de front ou pour les dépasser sans trop perdre de temps dans leur trajectoire forcément déviée à cause des autres. Ils sont au contraire très occupés, en pleine concentration presque autistique sur eux-même, la mine sérieuse, peut-être renfrognée même, pour qu’on voie bien à quel point ils sont dans leur trip et pas là pour s’amuser, donc pas question de se permettre ne serait-ce qu’un sourire amical aux inconnus de passage, ça ferait trois secondes de déconcentration sur les calories grillées, les temps de passages enregistrés, les graphiques sur lesquels il se pencheront une fois de retour chez eux, ayant connecté leur iBidule à leur matériel informatique. Enfin, il faut comprendre qu’on ne doit pas les déranger pour rien, et qu’eux ne feront rien non plus pour établir un contact avec toi. En plus, comme ils écoutent de la musique, qui est souvent sur un rythme choisi exprès pour la course en fonction du parcours, ils n’entendent ni le vent, ni les oiseaux, ni les grenouilles, ni toi. C’est évident.
Moi aussi, d’ailleurs, quand je suis en train de travailler et que je dois me concentrer, je n’aime pas trop être dérangé à ce moment et parfois, mon seul regard fait comprendre à mes collègues que j’ai envie de dire « mais tu ne vois pas que je bosse, enfin ? »
Si tu veux, cvanquick, avoir des relations humaines avec tes prochains tout en exerçant une activité proche de ce que tu as fait pendant tes vacances, renonce au footing, et emprunte des sentiers de tourisme pédestre. Tu croiseras des gens qui te souhaiteront le bonjour chaque fois que tu en croiseras, j’en suis certain, et peut-être même que vous parlerez un peu du coin, de la météo, de la rivière, de la colline ou des marais voisins.
Et c’est prouvé ici que ce sera tout aussi efficace. Là aussi, il s’agit cette fois de cancer du sein, mais c’est moins évident comme association directement causale. Il faudrait que j’aille lire l’article de départ.
, le 27.08.2014 à 08:41
Bonjour!
Et bien lors de mes footings en région Lausannoise j’ai constaté un effet de frontière intéressant:
Quand je pars de chez moi, jusqu’à Prilly, même dans le petit parc où il n’y a quasi personne, personne, ou presque, ne répond à mes « bonjours. »
Dès que je passe le panneau « Prilly », c’est l’inverse: tout le monde me salut. Pareil à Jouxtens (parfois j’en sursaute). Retour sur Lausanne : plus rien.
Alors bonne journée à tous!
, le 27.08.2014 à 08:43
en grec c’est : καλήμέρα = kalimera
, le 27.08.2014 à 08:53
Définition de meubler
, le 27.08.2014 à 08:59
@Renaud
C’est bien ce que je pensais.
Tant pis si c’est ce que tu penses.
, le 27.08.2014 à 09:05
Dire Bonjour avec le sourire, c’est la première obligation de la vie en société.
Hélas, j’ai toujours été surpris qu’en France il faille souvent passer les panneaux « Prilly » pour obtenir en retour autre chose qu’un sourire crispé, voire un regard étonné un tant soit peu agressif.
Ici, au Sénégal, pas de panneaux « Prilly » puisque dire bonjour fait partie intégrante de la culture du pays et s’avère le seul moyen d’engager une conversation où que ce soit.
Bonjour à tous et bonne journée.
—
Marc, l’Africain
, le 27.08.2014 à 09:06
Exact! Salut, Mirou! Et bien le bonjour à Coacoa! ;-)
, le 27.08.2014 à 09:12
@Zallag
Je les connais ces coureurs qui sont en plein entraînement. Ca se voit et ça se sent.
D’ailleurs c’était mon cas pendant les vacances
Mais sur 100 rencontres, j’en ai croisé une dizaine comme ça. Les autres étaient des joggeurs ou des cyclistes en vacances pas en entraînement ou en préparation juste des gens impolis.
, le 27.08.2014 à 09:20
Allez, sans rancune, je te donne même un coup de main, je meuble dans les commentaires :)
Bonjour chez Vous
, le 27.08.2014 à 09:26
@Renaud.
Trois commentaires pour enfin dire bonjour.
A la base j’avais une idée encore plus radicale pour l’article. Mais certains n’auraient vraiment rien compris.
Bonne journée
, le 27.08.2014 à 09:37
… j’ajoute qu’ici, oublier de saluer quelqu’un est une vraie faute de politesse, que la personne ignorée vous reprochera vertement…
Amis touristes, commencez donc votre conversation par un souriant « Nanga def ? » et la personne vous répondra « Mangi fi rekk ! »
… et Lycée de Versailles si c’est vous qui devez répondre à cette salutation !
Amoul Solo…!
, le 27.08.2014 à 09:41
On dit plutôt « Buenos días » en espagnol (castillan). En néerlandais on écrit généralement « Goedendag » plutôt que « Goede dag », mais ça n’a rien d’une obligation stricte.
En balade, à vélo ou à pied, je dis « bonjour » aux passants dans les endroits où il y a relativement peu de monde. En ville je ne le fais pas, souhaiter le bonjour toutes les cinq à dix secondes lui fait perdre tout son sens. :-)
, le 27.08.2014 à 09:53
Bonjour à tous ! Moi je trouve l’idée génial.
Ca me fait pensé à cet été à l’hôtel. J’étais avec le plus grand de mes fils, nous somme rentré dans l’ascenseur et avons tenu la porte a d’autres touristes. Pas un seul merci, même pas un sourire. Mais le pire c’est quand on est sorti, ils ont carrément refermé la porte sur mon fils ;)
, le 27.08.2014 à 10:03
Добрый день
Tu as donné la prononciation…..
, le 27.08.2014 à 10:07
Merhaba, Bundi, Selamat pagi, Salam aalaykum, Nǐ hǎo,
@Mirou : j’ai pas compris, tu le passes dans quel sens le panneau Prilly, pour qu’on commence à te dire bonjour ?
Ça m’intéresse personnellement (comprenne qui pourra)
, le 27.08.2014 à 10:10
Merci Saluki je n’avais pas le temps de chercher les « claviers » appropriés.
, le 27.08.2014 à 10:37
@diego:
De la ville vers la campagne. Pourquoi?
, le 27.08.2014 à 11:34
@Mirou : parce que je suis passablement impliqué à Prilly où j’occupe un poste administratif assez central (c’est sympa de qualifier Prilly de « campagne » d’ailleurs ;-))
, le 27.08.2014 à 11:39
Merhaba !
Quand je cours, je ne suis pas suffisamment occupée pour ne pas dire non seulement « bonjour » mais aussi à certains promeneurs « merci d’avoir rappelé votre chien » ! Malheureusement, je dis plus souvent « bonjour » que « merci » : quand le cabot se met à me sauter dessus, j’en ai marre d’entendre « mais il est super gentil » ! Ouais, ben c’est pas flagrant pour moi….
Bref, bonne journée,
, le 27.08.2014 à 12:15
Hello ;-)
Et oui, beaucoup de joggeurs passent outre mes salutations également, ce qui m’a fait basculé dans le côté obscur : maintenant je ne dis bonjour que si on me l’a dit.
, le 27.08.2014 à 13:34
@diego:
Je voulais dire en direction de la campagne. A Prilly vous avez les deux: ville et campagne, selon mes observations.
, le 27.08.2014 à 13:38
@mme Poppins.
Moi aussi les chiens ça me tranquillise pas quand je cours. Une fois il y en a trois qui m’ont sauté dessus toutes dents dehors. Bon ils étaient pas gros mais quand même…
Depuis j’évite certains endroits, surtout ceux où les maîtres peuvent les lâcher (certains parcs à Lausanne).
, le 27.08.2014 à 15:19
@ Mirou et Mme Poppins : pour ma part, il y a une vingtaine d’années, c’était aussi trois chiens qui avaient décidé de venir à ma rencontre à toute vitesse et en aboyant bien fort, lorsque je suis passé devant leur ferme en courant. Deux étaient d’assez petite taille et le troisième un Saint-Bernard… Je me suis immobilisé, je les ai laissés me flairer et puis ils sont repartis. Moi aussi, en marchant, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus me voir. J’ai rarement eu aussi peur que ce jour-là !
, le 27.08.2014 à 15:28
Les chiens quand on court c’est trop souvent le cauchemar…. non, je rectifie… ce sont la plupart du temps les maîtres les cauchemars… « il est gentil, il veut juste jouer », « c’est normal si vous vous arrêtez il vient vers vous », « je lui ai déjà dit qu’il ne doit pas lécher les gens comme ça »…. et j’en passe !
, le 27.08.2014 à 15:31
Je plussoie l’avis de marcdriver. Le problème n’est pas le chien mais le maître.
, le 27.08.2014 à 17:41
En effet Mirou, à la campagne, on se dit bonjour dans le canton de Vaud. Tout le temps, et même quand on monte dans le train.
À Lausanne, c’est nul, personne ne répond. Donc moi aussi je me tais, comme iYannick, mais on ne fait pas avancer le schmilblik!
, le 27.08.2014 à 18:15
François, j’ai aussi grandi dans un village, mes parents m’ont appris à dire bonjour à tout le monde mais en même temps, tu te vois, un samedi matin, à la Place portant ton nom, dire bonjour à chaque passant ? Moi pas bien !
Et oui, le problème est rarement le chien mais n’empêche, comme marcdiver, qu’est-ce que ça me gave quand on me répond « mais il est gentil, d’habitude il ne court pas derrière les gens comme ça » ! Du coup, justement, je remercie toujours les propriétaires qui rappellent leur chien et le gardent un petit moment aux pieds.
Bref, bonne soirée,
, le 27.08.2014 à 19:55
Eh bien tu vois, en Bretagne aussi. Ce qui fait une grande partie de son charme.
Kenavo!
, le 27.08.2014 à 20:32
Je suis assez étonné de voir que les propriétaires de chiens sont respectueux. Quand ils te voient arriver en rase campagne, ils attachent leur chien. Et à Vidy, au bord du lac, ceux qui sont détachés ne bougent pas une oreille.
Quand je vois qqn attacher son chien, je lui dis aussi merci beaucoup. De même quand je suis sur route, face aux voitures et qu’elles font presque toutes un petit détour: à chaque fois, un petit geste, juste pour remercier l’autre de ne pas t’avoir fait peur ou pire, tué.
, le 27.08.2014 à 20:35
Déjà utilisé par Zao dans
ancien combattant sur toitube
« à ceux que vous voyez zaïrois, m’boténayo… »
, le 28.08.2014 à 06:04
Personnellement, je n’ai aucun problème avec le fait ne rien dire en croisant quelqu’un. Le fait de me déporter sur le côté du sentier pour faciliter le croisement me semble être déjà une forme de reconnaissance de l’autre. Je dois dire que lorsque je pratique la marche (je ne cours pas), je le fais dans un esprit méditatif et je n’ai pas envie de parler.
Lorsque je salue et qu’on ne me répond pas, je me dis que j’aurais pu me taire.
Je ne salue jamais quelqu’un qui a des écouteurs dans les oreilles (je n’en ai jamais quand je vais marcher).
MAIS: si on me salue, je réponds toujours, et avec regard et sourire! Et je remercie les gens qui retiennent leur chien.
, le 28.08.2014 à 08:30
Ca me rappel ma première semaine d’école à Lausanne. J’avais 15 ans et quand je suis rentré dans le bus, comme un grand j’ai dis « Bonjour » et tout le monde m’a regardé comme un extra terrestre.
Mais le pire, c’est les voisin de mon immeuble. Dans l’ascenseur, il disait bonjour, mais je je les croiser en ville, il ne disait rien ;)
, le 28.08.2014 à 09:40
Allez, essayez un peu chez vous : Vous êtes à la Place Saint-François à Lausanne ou dans les Rues basses à Genève et vous saluez chaque personne que vous rencontrez. Je me demande si au bout de quelques minutes un agent ne va pas vous interpeler.
, le 28.08.2014 à 10:56
Je rentre dans un magasin, je vais vers un vendeur et je lui dis » Pardon Monsieur, pouvez-vous me dire où je peux trouver les allumettes ». Il me répond en aboyant « Bonjour !!! » (Ce qui me fait bien comprendre que j’aurais dû lui dire bonjour avant de commencer même à penser à lui parler…)
Et bien non, j’ai été poli et cette obligation de dire le mot fatidique que rien ne peut remplacer, même pas une phrase gentille avec un sourire, me gonfle grave (comme on dit maintenant)…
Alors la dictature du bonjour… bonsoir!
Quant à l’humeur d’aujourd’hui…
, le 28.08.2014 à 14:10
Pas de dictature du bonjour.
J’ai juste du mal avec les personnes qui ne répondent pas à une marque de politesse.
, le 28.08.2014 à 16:01
Pour compléter :
こんにちわ
, le 28.08.2014 à 18:24
J’ai récemment vécu ce genre de comportement lors d’une visite dans une grande surface d’Avranches, en Normandie. Désagréable au possible. En revanche, ma réaction a été simple : j’ai dévisagé en silence l’individu des pieds à la tête, je lui ai balancé calmement « Désolé de vous avoir dérangé » et je me suis dirigé vers la sortie…
Chez nos cousins du Québec, c’est le vendeur ou la vendeuse qui vient spontanément et systématiquement vers vous avec, au choix » Can I help you ? » ou « Puis-je vous aider ? », loi 101 oblige. Là où c’est amusant, c’est que la langue avec laquelle il (elle) vous aborde dépend de votre aspect : Jeans, chemise à carreaux et baskets, ce sera en français. Blaser, cravate et pantalon de flanelle grise, ce sera en anglais ;-)