Au­jour­d'hui, c'est à mon tour d'écrire un ar­ticle.

Alors j'avais dans l'idée de vous par­ler de mes va­cances, qui se sont ter­mi­nées di­manche passé.

Ha­bi­tuel­le­ment, les va­cances c'est par­fait pour se re­po­ser, mais là je dois ad­mettre que j'en suis res­sorti plus fa­ti­gué que je ne les ai com­men­cées.

C'est que ces va­cances, Puzzo et moi les avons pas­sées à Essen en Al­le­magne, du côté de Düssel­dorf.

Agran­dir le plan

En effet, nous étions au salon in­ter­na­tio­nal du jeux de so­ciété, le "Spiel'13". Il s'agit tout sim­ple­ment de l'un des plus grand salon dédié à ce hobby dans le monde. Il a ras­sem­blé des édi­teurs venus du monde en­tiers qui ont ac­cueili pen­dant quatre jours plus de 150'000 vi­si­teurs, eux aussi de na­tio­na­li­tés très dif­fé­rentes.

Les joueurs se pressent pour jouer à Ta­ke­noko en ver­sion sur­di­men­sion­née

Corto, un jeu tiré de la BD et pré­senté en avant-pre­mière à Essen

Contrai­re­ment au fes­ti­val des jeux de Cannes (dont Puzzo vous a déjà parlé) nous par­ti­ci­pons à ce salon non pas en tant que vi­si­teurs, mais pour y tra­vailler sur le stand de l'édi­teur de jeu fran­çais Ma­ta­got.

Tra­vailler pour un édi­teur, c'est ar­ri­ver deux jours avant l'ou­ver­ture des portes pour ins­tal­ler le stand, vider le ca­mion de tous ces jeux, les sor­tir des car­tons et les em­pi­ler soi­gneu­se­ment. C'est re­lire les règles une der­nière fois pour être sûr d'être ca­pable de les ex­pli­quer en fran­çais, en an­glais et en ita­lien pour cer­tain(e).

Les nou­veau­tés toutes bien ran­gées sur le stand de Ma­ta­got

Une fois les portes ou­vertes, c'est ar­ri­ver tous les ma­tins à 8h45 sur le stand, res­ter de­bout toute la jour­née, man­ger sur le pouce vers 16h si on a le temps et quit­ter le stand vers 20h après avoir tout rangé.

C'est l'en­vers de ce décor dont j'au­rait voulu lon­gue­ment vous en­tre­te­nir, mais l'en­nui, c'est que 150'000 vi­si­teurs sur quatre jours, ça fait un beau bras­sage de miasmes et de mi­crobes en tout genre. Et évi­dem­ment, je suis ren­tré de là avec une belle grippe.

Donc, je vais faire bref pour au­jour­d'hui, mais pro­mis, je vous en par­le­rai plus lon­gue­ment dans un pro­chain ar­ticle, si ça vous in­té­resse (n'hé­si­tez pas à m'en faire part en com­men­taires).