Si vous n’avez jamais rêvé de gagner une compétition, vous ne pouvez pas comprendre. Pour le sportif, ce n’est pas le fric, ce n’est pas le danger – c’est le podium. C’est l’espoir qu’on va pouvoir faire de grandes choses… Il n’y a qu’une chose qui compte: la victoire.
Voilà. « De nagel op de kop ». Traduit littéralement du néerlandais, « (il a frappé) le clou sur la tête », autrement dit « il a mis le doigt dessus ». En effet, le vrai, le seul problème, c’est la compétition. Par ailleurs, j’ajoute que beaucoup se dopent sans chercher la victoire eux-mêmes, mais simplement parce que ce sont des équipiers censés aider leurs leaders à gagner. Donc, il faut être aussi à la hauteur.
Tant qu’il y aura compétition, tant que l’envie de gagner sera plus forte que celle de participer, il y aura dopage. Parce qu’il suffit qu’un premier concurrent plonge dans le dopage (et il y en aura fatalement un) pour que les autres le fassent aussi, pour pouvoir garder une chance de gagner, et ainsi de suite. Le dopage disparaîtra le jour où le principe de Coubertin (l’essentiel est de participer) sera vraiment réalité. On peut toujours rêver…
Sur ce, je vais partir faire ma randonnée cycliste dominicale, et vais peut-être subir l’un ou l’autre sarcasme (« Dopé ! ») de passants qui se croient malins, et qui entre-temps vident leur pack de bières.
Tant qu’il y aura compétition, tant que l’envie de gagner sera plus forte que celle de participer, il y aura dopage. Parce qu’il suffit qu’un premier concurrent plonge dans le dopage (et il y en aura fatalement un) pour que les autres le fassent aussi, pour pouvoir garder une chance de gagner, et ainsi de suite. Le dopage disparaîtra le jour où le principe de Coubertin (l’essentiel est de participer) sera vraiment réalité.
CQFD
Comme tu dis: the nail is hit on the head…
C’est la conclusion à laquelle je suis arrivée depuis, grâce à cette enquête.
, le 23.08.2009 à 08:07
Voilà. « De nagel op de kop ». Traduit littéralement du néerlandais, « (il a frappé) le clou sur la tête », autrement dit « il a mis le doigt dessus ». En effet, le vrai, le seul problème, c’est la compétition. Par ailleurs, j’ajoute que beaucoup se dopent sans chercher la victoire eux-mêmes, mais simplement parce que ce sont des équipiers censés aider leurs leaders à gagner. Donc, il faut être aussi à la hauteur.
Tant qu’il y aura compétition, tant que l’envie de gagner sera plus forte que celle de participer, il y aura dopage. Parce qu’il suffit qu’un premier concurrent plonge dans le dopage (et il y en aura fatalement un) pour que les autres le fassent aussi, pour pouvoir garder une chance de gagner, et ainsi de suite. Le dopage disparaîtra le jour où le principe de Coubertin (l’essentiel est de participer) sera vraiment réalité. On peut toujours rêver…
Sur ce, je vais partir faire ma randonnée cycliste dominicale, et vais peut-être subir l’un ou l’autre sarcasme (« Dopé ! ») de passants qui se croient malins, et qui entre-temps vident leur pack de bières.
, le 24.08.2009 à 19:13
CQFD
Comme tu dis: the nail is hit on the head…
C’est la conclusion à laquelle je suis arrivée depuis, grâce à cette enquête.