Allez hop, passons au « nouveau » MacBook Pro

Avertissement 1: les photos des Macs sont honteusement pompées sur le site Apple. De toute manière, je n'arriverais pas à faire mieux qu'eux sans passer des tonnes d'heures à peaufiner l'éclairage, et même… Et comme de toute façon je n'ai pas le temps: vous aurez donc de splendides images Apple.

Avertissement 2: je suis bien conscient qu'il est sorti il y a quelques mois, ce MacBook Pro, mais que voulez-vous, je ne sais parler que de ce que j'utilise. Donc maintenant ça y est, je peux le faire. Donc désolé pour le retard, mais voilà, c'est comme ça…

Description de la situation précédente.

L'achat de mon dernier Mac (à moi) date de février 2008.

Il s'agissait du MacBook Pro 17 pouces, que j'avais choisi mat, et haute résolution.

C'est-à-dire que l'écran affichait 1920 sur 1200 pixels, tout ça sur un écran relativement petit tout de même.

Tout ça pour dire (je l'avais d'ailleurs écrit dans ma prise en mains de cette machine) que mes pauvres yeux voyaient certes beaucoup de "surface", mais alors tout petit de chez petit.

Je précise également que j'ai ressenti quelques problèmes importants au niveau, en particulier, de Lightroom, qui affichait plus souvent qu'à son tour la petite balle qui tourne, et ce, parfois pendant de longues dizaines de secondes.

Et puis, j'ai commencé un test (celui que vous auriez dû lire à la place de cet article, et que je reporte à la semaine prochaine): PulpMotion Advanced.

Or là aussi, j'ai rencontré un ou deux blocages assez inexplicables.

J'ai donc téléphoné à Matthieu Kopp, le papa de PulpMotion, qui m'a demandé quelle carte graphique était embarquée dans ma machine. Il s'agissait du GeForce 8600M GT. Tout de suite, il m'a expliqué que pas mal de problèmes se posaient avec ces cartes, les drivers n'étant pas tété sur Leopard (il semble que sur Tiger, les choses soient meilleures).

Et puis, j'ai, vous le savez, fourni Madame Cuk en MacBook tout simple, mais tellement joli.

Lorsque vous prenez un MacBook dans les mains, qu'il vous semble tellement solide, rigide, compact, que lorsque vous prenez votre 17 pouces d'ancienne génération dans les mains, il est tout grinçant, on a l'impression qu'il se tord si on le prend d'une main, il est difficile de l'ouvrir à cause de ce fichu bouton, alors que les MacBook et MacBook Pro de dernière génération se ferment et s'ouvrent comme une fleur…

Bref, il commençait à y avoir beaucoup.

Certes, le 17 pouces de nouvelle génération arrive, mais bon, je le trouvais un peu grand tout de même, comme le mien.

Finalement, le 15 pouces n'est-il pas un bon compromis?

Je ne sais pas. On verra si je supporte.

Parce que ça y est, j'ai vendu le 17, et j'ai acheté un 15 à la place.

Apple, arrête voir de donner des temps s'il te plaît!

J'ai relié mon ancien et mon nouveau Mac par un câble FireWire 800, et ai immédiatement commencé par migrer les données automatiquement depuis le premier vers le second.

C'est magnifique ce truc, je suis à chaque fois sur le derrière de voir à quel point c'est simple de passer d'une machine à l'autre.

Juste ne pas oublier de désactiver certains logiciels (ScreenFlaw, les musiques iTunes, pour quelque temps encore,…) et recréer ses imprimantes.

Avec le FireWire 800, ça déménage.

172 Gb à transférerer, tout ça normalement pour deux heures.

L'indicateur de progression semble tout à fait donner les mêmes renseignements. Au bout de une heure 45, j'arrive pratiquement au bout, et le système m'indique qu'il ne reste plus que "moins d'une minute".

Moins d'une minute… mais oui.

En fait, il a fallu près d'une heure trente à l'ordinateur pour finir le transfert de moins d'une minute!

Heureusement, j'avais déjà repéré le truc sur l'ordinateur de Madame Cuk, et lors de mon dernier transfert.

Mais tout de même, on ne peut s'empêcher de penser que la machine est plantée, mieux vaudrait ne rien dire, et faire évoluer un peu plus souvent les messages.

Enfin bref, 3h30 plus tard, tout va bien, ma machine est prête à l'usage, ayant perdu, comme à chaque fois, toutes ses imprimantes.

Rien de grave.

Première impression

Ouah: 1440 X 900, par rapport à 1920 X1200, avec 15 pouces à la place de 17, on pourrait se dire qu'on reste dans les mêmes proportions d'affichage.

Eh bien pas du tout! On a vraiment l'impression d'en voir moins niveau quantité, mais ô combien mieux!

Pour mes vieux yeux qui commencent sérieusement à peiner, il n'y a pas photo, le confort est immensément plus grand, même si évidemment, je regrette cette étendue énorme que j'avais avant.

Je vous montre la différence?

Deux captures d'écran, avec exactement la même fenêtre Cuk et la même fenêtre "Applications".

D'abord en 15 pouces, vous voyez que ça remplit bien l'écran:

En 17 pouces, il reste beaucoup de place, mais tout est tellement plus petit:

Trois jours après avoir fait le transfert, j'ai décidé que j'étais tranquille, et que je pouvais formater mon disque sans avoir pris le risque d'oublier une désactivation d'un logiciel installé sur l'ancienne machine, ce qui est toujours ennuyeux quand on nous dit sur la nouvelle qu'il faut désactiver la chose sur l'autre ordinateur, alors que vous l'avez déjà vendu et remis à neuf.

Eh bien, j'ai vite fait encore une sauvegarde générale du 17 pouces, et vraiment, j'ai été choqué de ce que tout est petit sur cette machine. Ce n'est vraiment pas normal. À mon avis, la haute résolution devrait être réservée à des 20, voire des 24 pouces. Sur un 17, ce n'est vraiment pas confortable. Et il me semble que sur le nouveau 17, cette résolution ne soit plus une option, mais celle native pour toutes les machines.

Ce qui fait que je ne regrette pas pour l'instant d'avoir pris le 15 pouces.

Autre remarque: moi qui étais à mort contre les écrans brillants au départ, un peu moins à mort contre lorsque j'ai vu le MacBook de Madame Cuk, mais me posant encore quelques questions, je suis tout simplement bluffé par l'écran du MacBook Pro.

Certes, si vous avez une lampe derrière vous, elle risque de gêner. Remarquez, c'est comme un acouphène: si l'on y pense pas, ça passe, mais alors si on y pense, ça gène.

Mais niveau qualité, c'est superbe. Finies les teintes jaunes du 17. Je vais certainement me faire un petit calibrage, mais même sans, je trouve que les couleurs sont justes.

En fait, après calibrage (effectué deux jours après l'écriture du paragraphe précédent), c'est encore meilleur à mon goût, le nouveau profil étant un peu plus chaud que celui d'origine.

Même de coin, l'écran ne solarise pas, les couleurs restent largement regardables.

Et il faut avouer que le brillant est agréable lorsqu'on regarde et lorsqu'on édite ses images.

La lumière est homogène sur toute la dalle, c'est du très beau travail.

Bref, niveau écran, c'est excellent, même si je reste persuadé qu'un traitement antireflet doit pouvoir être appliqué sur le verre.

 

Mon Dieu qu'il est beau

Oui bon, je sais, c'est une question de goût, quoique… Je ne connais personne qui ait vu le MacBook ou le MacBook Pro nouveau, et qui n'ait pas craqué.

Même Madame Cuk adore le sien, c'est dire…

Mais moi, je n'en reviens pas de la réussite esthétique de ce modèle. Aucune photo ne peut faire comprendre à quel point il est beau: il faut l'approcher, le toucher, et je dirais même plus, le prendre en mains.

Et là c'est dingue à quel point il fait compact! Cette nouvelle construction d'un bloc le rend rigide, et donne une impression de solidité.

Et rien que pour ne plus me casser les ongles lorsque j'ouvre ma machine, puisqu'il n'y a plus de bouton (mon 17 pouces, malgré un changement du bodycase était insupportable sur ce point), mais qu'il suffit simplement de soulever le couvercle, rien que pour ça, je suis content d'avoir changé.

Cela dit, petit inconvénient: en ouvrant le Mac, le doigt touche l'écran, ce qui le salit un tout petit peu juste au-dessus de la caméra iSight intégrée. Ouuuuuh, que je n'aime pas mon écran sale, heureusement que j'ai ma microfibre toujours sur l'homme! Je poutze, je poutze.

Au niveau de la taille, étrangement, entre le 17 ancienne génération (donc d'il y a un mois) et le 15 pouces de nouvelle génération, il y a peu de différences une fois qu'on les met l'un sur l'autre. Je l'ai fait pour pouvoir vous le prouver par l'image, mais… j'ai oublié de prendre la photo.

Ben désolé…

En parlant de photo, et de vidéo, disons qu'un petit 24 pouces ne fait pas de mal pour travailler confortablement. Cela dit, Lightroom est tout à ergonomique sur un 15, si ce n'est le manque de deuxième écran, mais qui se fait aussi sentir sur un 17, alors…

Je dispose désormais d'un Samsung 24 pouces 2494 HS tout à fait agréable, et qui moyennant un adaptateur pour le Mini Display Port, est grand copain avec mon nouveau Mac.

Ouuuuuaaaaaaaa… too much bô!

Et au niveau fièvre, ça va?

Si le MacBook Pro, lors de grosses installations, chauffe toujours un peu, il le fait moins que le 17 pouces et immensément moins que les premiers portables Macintel.

En utilisation normale, il est tiède.

Au moment où je vous écris cet article, la machine installe Parellels Desktop 4, et met à jour la machine virtuelle, on sent bien la chaleur tout de même, mais à l'arrière de la machine, au milieu. Rien à voir avec certaines brûlures de l'époque tout de même.

Les performances

Pas de chiffres, juste des impressions de deux semaines.

J'ai lu que le nouveau 15 pouces n'était pas intrinsèquement plus rapide que les derniers de la génération "d'avant".

Je m'attendais donc à des impressions comparables.

Si je ne ressens pas le coup de boost monstrueux du passage du PowerPC vers le MacIntel d'il y a quelques années, je dois dire que je suis tout de même étonné de la réactivité à tel point supérieure de cette machine par rapport à la précédente (pourtant dotée d'un processeur cadencé à la même vitesse (2.53 Ghz).

Est-ce l'accélération du bus, la RAM en DDR 3, ou alors la carte graphique (les cartes graphiques devrais-je dire) supérieure(s), ou encore un peu des deux?

Plus de blocages, voilà une machine qui déménage.

Même Lightroom ne me pose plus le moindre problème. Peut-être que Matthieu Kopp avait raison finalement?

Le disque dur de 320 Gb est très silencieux, comme l'était d'ailleurs celui du 17.

Au niveau cartes graphiques… Oserais-je l'écrire? Sur les applications que j'utilise, je n'ai pas vu de différence entre la petite qui économise la batterie (la GeForce 9400 dotée de 256 Mb de VRam) et la grosse (la GeForce 9600 MGT dotée de 512 Mb de VRam) qui privilégie la puissance.

En plus, il faut redémarrer la session en passant (étonnamment) par la préférence système "économie d'énergie".

Pas pratique. Vivement SnowLeopard qui gérera ça bien mieux, à ce qu'on nous promet. Si en plus on pouvait utiliser les deux cartes en parallèle… Bon, faudra aussi des batteries qui le seront (en parallèle) j'imagine.

Parce que…

L'autonomie

Oui bon, eh bien là, je trouve que ce n'est pas terrible.

Ouais, heureusement qu'il y a le "jusqu'à".
Peut-être qu'avec écran éteint… 

Je ne suis en tout cas pas meilleur que je l'étais avec mon 17 pouces dont la batterie avait une année. Et je vous parle donc d'une utilisation avec la petite carte graphique. La fois où j'ai utilisé la grosse, ça a dégagé niveau énergie.

Oui, je trouve que progrès par rapport à la génération d'avant, il n'y a pas. Il me semble même qu'il y a un recul.

Étonnant. Serait-ce la mémoire DDR3 qui pompe plus? L'écran qui est plus glouton? Le bus plus rapide? La batterie moins puissante?

Je ne sais pas, mais je suis un peu déçu tout de même.

Ne me demandez pas combien de temps je tiens, je n'en sais rien, vu que je n'utilise que rarement une charge d'un coup, que je m'arrête, que je repars, mais l'expérience, ça compte, et je vois bien que je vais être juste souvent avec une seule batterie.

Encore heureux que celui-là permette d'en avoir une ou deux de réserve, contrairement au nouveau 17 qui est donné comme bien meilleur.

Cela dit, il est important que vous fassiez un étalonnage de la batterie, en la chargeant complètement (et au-delà), puis en la laissant aller jusqu'au bout du bout, jusqu'à l'extinction automatique, et ne pas encore charger tout de suite, mais attendre encore une heure ou deux.

Ensuite, refaites une charge complète. Lorsqu'on a fait ça une ou deux fois, les choses s'arrangent, mais ce portable n'est pas un foudre de guerre au niveau de l'alimentation, c'est sûr.

Allez, par exemple, ce matin: je pars de la maison avec mon portable à 100%.

J'arrive au travail une heure plus tard, vers 8h15, plus que 96% d'autonomie.

Je travaille avec mon portable, reçois des parents pendant une demi-heure (ordinateur en veille), retravaille avec l'ordinateur, vais visiter une classe pendant une demi-heure, ordinateur en veille, puis reviens bosser avec ma machine. À 11h15, message d'alerte, je travaille sur la réserve (ne reste que 10%). En tout, la machine aura tenu 2h30 à tout casser, ce qui est bien peu. Et tout ça, avec la carte économique au niveau graphique.

Ah, et le petit bouton sur le côté pour tester la charge de cette batterie est bien plus pratique (et joli, avec ces chouqinettes diodes) que ce que l'on avait avant qui était situé sous la machine.

Airport

J'ose à peine l'écrire, parce qu'à chaque fois, il me semble que les choses se dégradent après…

Mais là, ça fait tout de même pratiquement deux semaines.

Alors c'est clair: je passe désormais partout dans ma maison. Dehors, je n'ai pas encore osé, il pleut ou neige depuis quinze jours.

J'ai le sentiment que ce quinze pouces se comporte comme l'ancien MacBook de Madame Cuk: soit très bien. Immensément mieux que le premier 15 pouces MacIntel, et beaucoup mieux que le 17 pouces que j'ai rendu.

Il m'arrive par contre de me retrouver avec un Airport désactivé, alors que je n'ai rien demandé. Pas trop grave, mais agaçant.

Clavier et Trackpad

Le clavier, tout comme le clic du TrackPad sont plus bruyants que les mêmes sur les générations d'avant.

Cela dit, le clavier est agréable au toucher et parfaitement rétro-éclairé (qu'est-ce que je regrette d'avoir acheté l'entrée de gamme à Madame Cuk pour son MacBook, qui lui ne l'est pas, ce qui est pour le moins regrettable): tout est parfaitement visible, même les touches de fonction, ce qui n'était pas vraiment le cas sur les Alubooks et les premiers MacIntel. Après, les choses se sont nettement arrangées.

Le trackpad est lui assez génial avec ses mouvements à un, deux, trois, et quatre doigts. Il faut dire que j'ai de la peine à m'habituer à cliquer et double-cliquer avec le avec l'index plutôt qu'avec le pouce sur le bouton qui a disparu visuellement, mais qui est tout de même bien là, puisque c'est le bas du trackpad lui-même qui fait office de partie cliquable.

Cette zone cliquable a selon moi un avantage et un désavantage.

Avantage: elle devrait être plus fiable que le bouton d'avant, qui finissait toujours par fatiguer, ce qui m'obligeait à changer au moins deux fois de clavier avec chaque machine sur deux ans (j'avais changé celui du 17 pouces une fois en une année, même deux fois en fait puisque la première pièce de rechange posée était défectueuse).

Désavantage: le clic est légèrement plus dur est surtout plus bruyant. Ça nous avait frappés sur le MacBook, Madame Cuk et moi, c'est confirmé sur le MacBook Pro.

Donc j'essaie de travailler avec l'index, mais je ne sais combien d'années sur un portable (15 ans?) avec un bouton sur le pouce, et tout ça une dizaine d'heures par jour, ça ne s'oublie pas comme ça.

La matière devrait être de meilleure facture que dans les versions précédentes (je faisais presque le trou dans le trackpad en quelques mois), puisqu'il s'agit maintenant de verre gravé, qui devrait être tout résistant.

Mais j'aime bien le clic droit dans le coin en bas à droite du Trackpad, je trouve marrant de gérer exposé avec quatre doigts.

Et encore, chose très importante pour moi: SmartScroll fonctionne comme une horloge avec le nouveau 15 pouces, alors que depuis la 10.5.6, il saccadait dur avec mon 17 pouces. Et moi, j'ai de la peine à bosser sans SmartScroll, testé ici.

Bref, en gros, amélioration il y a (à part le bruit) par rapport à l'ancienne génération.

Notez que je place toujours ma petite étoffe en micro-fibres sur le clavier avant de fermer le portable, histoire d'éviter que les touches du clavier se marquent sur l'écran. Cela dit, j'ai peut-être tort, puisque le verre devrait être bien plus résistant que la couche mate des écrans "d'avant". Mais bon, deux précautions valent mieux qu'une, et cette petite patte me permet de nettoyer mon écran si de la poussière s'est déposée dessus (à quand un écran vibreurs comme le capteur des nouveaux reflex, à l'allumage ou à l'extinction? (Tiens, je n'avais pas remarqué que notre interface d'édition nous proposait plein de smilies… Attention les yeux maintenant!

Le son

Les MacBooks Pro n'ont jamais été vraiment des bêtes au niveau du son. Ce dernier modèle ne déroge pas à la règle, mais il est en tout cas aussi bon que celui du 17 pouces qui a pourtant des grilles de haut-parleurs plus grandes.

Je me surprends souvent à écouter de la musique sur mes portables, depuis quelques mois, et ce, à l'aide d'un utilitaire dont je vais vous parler très bientôt. C'est tout à fait supportable (Ok les frappadingues de la Hi-Fi, pas de problème, je suis d'accord avec vous, je préfère évidemment écouter un bon CD sur ma chaîne adorée).

Bref, manque de basses, évidemment, mais sinon, tout à fait supportable pour accompagner son travail lorsqu'on est loin de tout autre moyen d'écouter de la musique (non, je ne mettrai pas de casque, je n'aime pas ça quand je bosse).

La connectique

Oui oui.

Non, ne tapez pas, je sais.

Ben au moins, on a le FireWire 800… Contrairement au MacBook.

La disparition du FireWire 400 a fait couler tellement d'encre que je ne vais pas en rajouter une couche ici (pourquoi, mais pourquoi?). Cela dit, un adaptateur pour 20 francs, et elle est belle, ces petites choses se chaînant très bien, le manque d'une prise ne se fait pas trop sentir.

Sinon deux USB2, entrée -sortie son, et une sortie vidéo toute nouvelle et toute petite, qui impose de racheter ses adaptateurs Mini Display Port vers DVI et VGA.

Au final

À chaque fois que je regarde cette machine, je me dis qu'elle est vraiment splendide.

À chaque fois que je la prends dans les mains, j'ai le même sentiment que lorsque je prends un MacBook Air: il est sensuel (je sais, c'est cuk-hu, mais c'est comme ça).

À chaque fois que je l'utilise, je me dis que la chose est véritablement nerveuse, et que le progrès par rapport à l'ancienne, même si j'en ai beaucoup douté avant de la mettre à l'épreuve, est bien réel.

Ne manque plus qu'une batterie un peu plus performante pour que le sans-faute soit bien de la partie. Et peut-être un traitement antireflet.

Pour le reste, la plus belle machine que j'aie eue dans les mains.

Une vraie réussite.

Vous voulez que je vous dise?

Je l'adore!

Ben oui.