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C’est beau Stras­bourg en mu­sique… et sans fumée:-)

Juste comme ça, en mode blog…

Il est 22 h 00 pile, nous ve­nons de ren­trer, Ma­dame Cuk et moi d’un week-end à Stras­bourg.

Quelle belle ville!

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Bon, nous n’y étions pas allés juste pour vi­si­ter.

Faut dire que Mme Cuk, de­puis le mois de mars 2007, al­lait tous les jours sur le site des En­foi­rés pour voir quand al­laient être mis en vente les billets, vu que nous sa­vions qu’ils al­laient se pro­duire à Stras­bourg, donc pour une fois pas trop loin de chez nous (un peu plus de trois heures en voi­ture).

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La date fa­ti­dique de pre­mière lo­ca­tion était le 26 no­vembre. Je ne vous ra­conte pas, j’ai passé la ma­ti­née au té­lé­phone, seule ma­nière pour les Suisses de pou­voir ré­ser­ver une place. Si je n’étais pas ren­tré pas avec deux ti­ckets, Ma­dame m’au­rait quitté, j’en suis cer­tain.

En fait, les En­foi­rés inau­gu­raient le nou­veau Zé­nith de Stras­bourg, le plus grand de France semble-t-il.

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C’est beau un Zé­nith! Je n’y avais ja­mais mis les pieds avant.

Sa­medi matin, nous sommes allés en re­con­nais­sances à 10 heures du matin. Il y avait déjà des gens qui fai­saient la queue pour le concert de 20 heures!

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La vue de­puis l’hô­tel, nous n’étions pas trop loin voyez-vous… Bien vu Ma­dame Cuk!

Au­jour­d’hui, le concert com­men­çait à 13 h 30, nous sommes ar­ri­vés à 10 h 30, il y avait déjà plein de monde de­vant nous, mais éga­le­ment une file d’at­tente déjà bien pleine pour le concert de 20 heures…

Il y a des fous tout de même. Moi, déjà trois heures, ça me tue d’at­tendre, alors une jour­née com­plète, par ce froid…

Bref, juste pour dire, début du concert de 13 h 30 à 14 heures par une ré­tros­pec­tive sur grand écran, puis début du concert pro­pre­ment dit à 14 heures.

La fin? 17 h 45, avec juste quelques pauses de quelques se­condes pour bien pla­cer les dé­cors, puisque les deux concerts de ce di­manche et celui de lundi se­ront le ma­té­riel pour la créa­tion du DVD, du CD, et de l’émis­sion TV à pa­raître en mars.

3 heures 45 de concert assez in­croyable au ni­veau du rythme, au ni­veau de la pré­ci­sion d’une mise en scène im­pres­sion­nante.

Le pire? Ils re­met­taient ça à 20 heures! Pour les chan­teurs, mais sur­tout pour les mu­si­ciens, ça doit être juste l’en­fer…

Bref, Ma­dame Cuk était contente, elle a vu son Bruel, et tous les deux nous avons été sou­la­gés, puisque nous avons évité Cé­line Dion, qui avait été aon­non­cée. Ouf! C’eut été dom­mage tout de même de gâ­cher un si bon mo­ment…

Évi­dem­ment, un Zé­nith, ça manque un peu d’in­ti­mité avec les ar­tistes. Si la bonne hu­meur était au ren­dez-vous, la qua­lité aussi, nous avons eu un peu de peine à res­ter “dans” le concert.

C’était in­trin­sè­que­ment su­perbe (tout y était, ni­veau tech­nique, ni­veau chan­teurs, ni­veau dé­cors, lu­mière mu­sique et j’en passe), man­quait juste une pe­tite étin­celle sup­plé­men­taire qui nous rend tout fla­gada quand nous sor­tons de la salle.

En par­lant de salle…

Nous sommes allés trois fois au res­tau­rant avec Ma­dame Cuk.

Les deux fois, dans des pe­tits bouis-bouis bien sym­pa­thiques et une fois dans le res­tau­rant de l’hô­tel.

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Pas un nuage de fumée, pas de puan­teur en sor­tant, des yeux qui ne pi­quaient pas.

On a beau dire, cette loi, qu’on l’aime ou qu’on lui re­proche plein de choses (voir l’hu­meur de Ma­dame Pop­pins de lundi passé), elle est bien ef­fi­cace.

Et fran­che­ment, pour nous, ça a été un bon­heur de pou­voir man­ger sans la moindre gêne.

14 com­men­taires
1)
Sa­luki
, le 27.01.2008 à 23:37

“Wins­tub”

Mon pre­mier beau-père, bref le papa de la maman de mes en­fants, ap­pe­lait ça ses “cha­pelles”.
Il en a fait des che­mins de croix de Stras­bourg à Col­mar…

Bon, pour ce qui est des “Zé­nith”, je connais celui de Paris. La qua­lité de la sono c’est un peu pour ce qu’on y fait: zim, boum, glong. ! Un peu ce qu’un iPod est à une chaîne…Ma­cIn­tosh à lampes + Ca­basse…

2)
Ca­plan
, le 28.01.2008 à 00:10

Cuk est au Zé­nith? Ça fait long­temps qu’on le sait! ;-)

Mil­sa­bor!

3)
In­connu
, le 28.01.2008 à 00:15

Fran­çois Cuneo, ou l’art de ré­ani­mer les dé­bats an­ciens… ;-)

4)
cypo
, le 28.01.2008 à 05:55

Bon­soir Fran­çois, Une ques­tion me vient comme ça. Si vous aviez du choi­sir, vous au­riez pré­féré Cé­line Dion ou la fumée dans ces resto ? ;-) @+

6)
Ma­dame Pop­pins
, le 28.01.2008 à 07:16

@ Fran­çois C (dis, tu pour­rais pas re­prendre KHan­ni­bal comme pseudo ? Parce que là, plus trop moyen de te dis­tin­guer de Fran­çois C, dans sa ver­sion -unéo !

Dé­so­lée, je sors du sujet mais comme je ne connais pas Stras­bourg, que je n’aime pas tel­le­ment aller au concert et que j’ai déjà dit ce que j’avais à dire en ma­tière de fumée…..

Oui, pas be­soin de crier, je sors !

7)
Argos
, le 28.01.2008 à 08:11

A Stras­bourg, il y a déjà long­temps que l’on pou­vait man­ger tran­quille­ment sans être dé­rangé par la fumée puisque les Al­sa­ciens ap­pli­quaient les prin­cipes de la sé­pa­ra­tion des res­tau­rants en lieux fu­meurs et non-fu­meurs. J’y re­tourne dans trois jours et vais en pro­fi­ter pour man­ger au ma­gni­fique Bue­re­hie­zel. An­toine Wes­ter­man, son pa­tron, avait trois étoiles au Mi­che­lin. A la sur­prise du mi­lieu, son fils Eric, en re­pre­nant le res­tau­rant, a re­noncé aux étoiles pour dé­mar­rer quelque chose de nou­veau. Comme le cri­tique dans le film Ra­ta­touille, un grand mo­ment de ci­néma et de gas­tro­no­mie, je vais me lais­ser sur­prendre.

8)
POG
, le 28.01.2008 à 09:20

Salut Fran­çois,

A Stras­bourg, ma ville ! Tu ne m’as même pas dit que tu ve­nais en Al­sace. Je suis adopté par Bâle de­puis peu pour des rai­sons de bou­lot, mais je peux don­ner à qui le sou­haite une ex­cel­lente adresse pour man­ger des tartes flam­bées (Fla­men­kue­chen em al­sa­cien) ou autre en Al­sace non loin de Stras­bourg.

Bonne se­maine PO

9)
Fran­çois Cuneo
, le 28.01.2008 à 09:59

Trop tard PO. Dom­mage, parce que notre tarte flam­bée n’était pas tété…

10)
POG
, le 28.01.2008 à 11:08

C’est pa grave Fran­çois se sera pour une pro­chaine fois.

En tout cas, pour ceux qui veulent goû­ter une vraie tarte flam­bée ou Fla­men­kueche et pas celles in­fâmes de la MI­GROS (fa­bri­qué par des four­nis­seurs al­sa­ciens d’ailleurs) ou des bouis-bouis stras­bour­geois je conseil vi­ve­ment le res­tau­rant l’Aigle à Pful­grie­sheim. Pas be­soin de re­ser­ver, ils sont ou­vert que vers la fin de la se­maine et fermé le di­manche. La tarte est cuite au feu de bois et les fonds de tarte ne sont pas conge­lés :-)

Il faut sa­voir que pour les al­sa­ciens, Stras­bourg n’est pas connu pour ses tartes flam­bées c’est la cam­pagne de Stras­bourg qui l’est (ko­chers­berg).

11)
dj­trance
, le 28.01.2008 à 12:52

Rhaaaaaaa pis c’est beau l’Al­sace… Ou les flam­men­kuche… Whaaaa!

12)
zit
, le 28.01.2008 à 19:41

Flam­bée? idéal pour en al­lu­mer une pe­tite!

z (qui est déjà loin, je ré­pêêêête: –––––>)

13)
THG
, le 29.01.2008 à 07:30

At­ten­tion quand même aux nom­breuses gar­gottes à tou­ristes à Stras­bourg ou Col­mar…

Deux en­droits ou j’aime man­ger quand je vais à Stras :

Le Fi­shers­tub à Schil­ti­gheim, pour ses cor­don-bleus ou faux-fi­lets gar­gan­tuesques.

Le Pi­chet d’Or près des halles pour son filet de pou­lain aux écha­lottes, pommes de terre ris­so­lées, sa­lade, ar­ro­sés d’un pinot noir ou rouge d’Ot­trott ( Je n’y ai pas été de­puis long­temps, pas sûr que ça existe en­core ).

14)
Czarci
, le 30.01.2008 à 09:22

Pour les tartes flam­bées, il y a(vait) un petit resto qui ne fonc­tionne que du ven­dredi au di­manche, le soir, dans un petit vil­lage pas très loin d’Ha­gue­nau : Bat­zen­dorf. Il s’ap­pelle la Grange, et là-bas, on vous ap­prend ce qu’est une tarte flam­bée pour un bas-rhi­nois.