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Per­mu­ta­tions…

Il n'était pas dit que je vous lais­se­rais dans le désar­roi! Voici de quoi re­trou­ver votre sé­ré­nité, que je vous sou­haite à tous, d'ailleurs, toute cette année, en guise de voeux.

Les voici, les voilà!...

Ex­clu­sif! À Londres : la scène russe!

un amoral qui au­rait des qualités

cette vieille terre est ou­verte aux militantes

Il faut ras­sem­bler beau­coup de fonds pour for­mer des cliques.

Ces pa­ra­sites nous brouillent l’ écoute!

Avez vous lu Perceau?.

l’art de décaler les sons que débite notre bouche...

il y a des livres qui de­mandent beau­coup de peine, et que la Com­tesse était pas­sée sous des piliers de mine, et aussi qu’elle prê­tait son dû à tous ceux qui banquent.

Notre Gé­né­ral, quel oeil, et quel organe!

Amène le porc!

Clau­del, voilà une chose qui me fait bien prier!

“Fous moi le camp avant que je te brûle, cria Ver­laine, qui avait déjà abusé du gros vin de ce ribaud!” le Gé­né­ral est ar­rivé à pied par la Chine

Plaintes d’une femme déçue

L’hom­mage de leurs vers qu’à l’envi les poètes
À la femme déçue offrent tou­jours ar­dent
Flatte certes le but, mais n’apaise la quête :
L’attente a des plai­sirs qu’on ne fait qu’un mo­ment.
Aussi, jouet des vents qui l’hiver me ru­doient,
Sur des talus où vont, se fanant, mes appas
En un dense réduit où je n'ai point de joie,
Veux je conter ce don que Thyr­sis ba­foua.
Las! le pâle Thyr­sis avait la mine aus­tère :
Le sen­tant sur le banc près d’elle un peu tarder
L’amante bien des fois lui fit en vain la guerre :
Ferme et froid ce­pen­dant ja­mais il ne dou­tait.
Pour voir se dénouer ce voeu, que de ten­dresse!
Que, do­cile à sa voix et pro­mise à son lit,
J’eusse aimé dans ses bras m’adonner à l’ivresse!
Mais le vin que j’of­frais ja­mais ne le conquis.
Ses doigts pou­vaient jouer aux fous entre mes tresses,
D’un vent hardi par­fois co­piant les ef­fets :
Il fal­lait à mon but d’autres riens, des ca­resses
Moins lourdes dont mon goût se fût mieux sa­tis­fait.
Aux livres confiée une peine fa­rouche
Cède à des plai­sirs doux qui lui prêtent un fard;
Mais l’ou­vrage choisi quand j’abordai ma couche
Me fit perdre la tête, et je luttai sans art.
Cer­tain jour, face au bois, je me crus bien lésée :
Le vent sifflait, la chasse au loup bat­tait son plein;
La bête bien tapie était près de l’orée :
Ah! Que le son du cor sem­blait clair et pro­chain!
Voyant un nid of­fert, sur la mousse al­lon­gée,
Je sentis tout en moi la peine qui fon­dait,
Quand presque quitte au but il m’a sou­dain lais­sée :
Il jouit de mon trouble, et ne fit que passer.
“Achève”, dis-je, “et mets céans la vierge en t/erre!
Les cou­leurs de mon don te lais­sant sans émois
”Accorde au moins ce but, cruel, à ma prière :
De ce fer qui fait mon envie, ah! perce moi!”
Il flé­trit mes “ave” d’une parole amère :
“Je priais pour ga­gner le plus mâle des sots!
D’un don coû­teux je sus la cruelle mi­sère :
Aux mythes pour le bien je re­non­çait tan­tôt.
Mais que te mine un jour ta peine sur ces rives :
Ton cri res­tera vain; ta voix cla­mant tes maux,
Pour ce mal que tu fis à l’amante naïve,
Ne trou­ve­ras de mont qu’at­ten­drisse l’écho!

Amu­sant, n'est ce pas?... N'hé­si­tez pas, par le moyen du gras, à don­ner vos so­lu­tions, je ne les pas toutes trou­vées!...

13 com­men­taires
1)
pilote.​ka
, le 08.01.2008 à 16:35

au se­cours, c’est gra­ve­leux à sou­hait. Moi je ne vois une contre­pé­trie que lorsque on me si­gnale qu’il y en a une.

2)
Ti­me­kee­per
, le 08.01.2008 à 17:43

Moi, sorti de Ma­mouth écrase les prix

PS : je crois qu’il y a un L en gras en trop dans”Il faut ras­sem­bler beau­coup de fonds pour for­mer des cliques.”, non ?

3)
So­heil
, le 08.01.2008 à 18:40

Je ne les ai pas toutes lues, et de toute façon je n’au­rais pas été ca­pable d’en de­vi­ner la moi­tié, mais je dois avouer que les contre­pè­te­ries me lassent très vite. Il y en a d’ex­cel­lentes et je ne peux que sa­luer le tour de force, mais à forte dose elles cessent de m’amu­ser.

Mais si j’in­ter­viens ici ce n’est pas pour faire part de mes ré­ti­cences (dont tout le mou se fonde) mais parce que je ne ré­siste pas au plai­sir de re­pro­duire ici, dans le même es­prit mais dans un genre dif­fé­rent, ces trois lettres co­dées très connues, qu’on at­tri­bue à George Sand et à Al­fred de Mus­set — mais il s’agit sans doute du tra­vail d’un ha­bile faus­saire de la fin du 19e siècle.

__

Lettre (apo­cryphe) de George Sand à Al­fred de Mus­set :

Cher ami,

Je suis toute émue de vous dire que j’ai

bien com­pris l’autre jour que vous aviez

tou­jours une envie folle de me faire

dan­ser. Je garde le sou­ve­nir de votre

bai­ser et je vou­drais bien que ce soit

une preuve que je puisse être aimée

par vous. Je suis prête à mon­trer mon

af­fec­tion toute dés­in­té­res­sée et sans cal-

cul, et si vous vou­lez me voir ainsi

vous dé­voi­ler, sans ar­ti­fice, mon âme

toute nue, dai­gnez me faire vi­site,

nous cau­se­rons et en amis fran­che­ment

je vous prou­ve­rai que je suis la femme

sin­cère, ca­pable de vous of­frir l’af­fec­tion

la plus pro­fonde, comme la plus étroite

ami­tié, en un mot : la meilleure épouse

dont vous puis­siez rêver. Puisque votre

âme est libre, pen­sez que l’aban­don où je

vis est bien long, bien dur et sou­vent bien

in­sup­por­table. Mon cha­grin est trop

gros. Ac­cou­rez bien vite et venez me le

faire ou­blier. À vous je veux me sou-

mettre en­tiè­re­ment.

_



Ré­ponse d’Al­fred de Mus­set :

Quand je mets à vos pieds un éter­nel hom­mage,

Vou­lez-vous qu’un ins­tant je change de vi­sage ?

Vous avez cap­turé les sen­ti­ments d’un coeur

Que pour vous ado­rer forma le créa­teur.

Je vous ché­ris, amour, et ma plume en dé­lire

Couche sur le pa­pier ce que je n’ose dire.

Avec soin de mes vers lisez les pre­miers mots,

Vous sau­rez quel re­mède ap­por­ter à mes maux.

_


Ré­ponse de George Sand :


Cette in­signe fa­veur que votre coeur ré­clame


Nuit à ma re­nom­mée et ré­pugne à mon âme.

_

Il faut lire la pre­mière lettre en igno­rant toutes les lignes paires.

Des deux autres, ne re­te­nir que le pre­mier mot de chaque ligne.

__

Ce qui donne:

Je suis toute émue de vous dire que j’ai

bien com­pris l’autre jour que vous aviez

tou­jours une envie folle de me faire

dan­ser. Je garde le sou­ve­nir de votre

bai­ser et je vou­drais bien que ce soit

une preuve que je puisse être aimée

par vous. Je suis prête à mon­trer mon

af­fec­tion toute dés­in­té­res­sée et sans cal-

cul, et si vous vou­lez me voir ainsi

vous dé­voi­ler, sans ar­ti­fice, mon âme

toute nue, dai­gnez me faire vi­site,

nous cau­se­rons et en amis fran­che­ment

je vous prou­ve­rai que je suis la femme

sin­cère, ca­pable de vous of­frir l’af­fec­tion

la plus pro­fonde, comme la plus étroite

ami­tié, en un mot : la meilleure épouse

dont vous puis­siez rêver. Puisque votre

âme est libre, pen­sez que l’aban­don où je

vis est bien long, bien dur et sou­vent bien

in­sup­por­table. Mon cha­grin est trop

gros. Ac­cou­rez bien vite et venez me le

faire ou­blier. À vous je veux me sou-

mettre en­tiè­re­ment.

__

Quand je mets à vos pieds un éter­nel hom­mage,

Vou­lez-vous qu’un ins­tant je change de vi­sage ?

Vous avez cap­turé les sen­ti­ments d’un coeur

Que pour vous ado­rer forma le créa­teur.

Je vous ché­ris, amour, et ma plume en dé­lire

Couche sur le pa­pier ce que je n’ose dire.

Avec soin de mes vers lisez les pre­miers mots,

Vous sau­rez quel re­mède ap­por­ter à mes maux.

_

Cette in­signe fa­veur que votre coeur ré­clame


Nuit à ma re­nom­mée et ré­pugne à mon âme.

_

(Dé­solé pour la mise en page, je ne sais pas pour­quoi mais je n’ar­rive pas à ob­te­nir un re­tour à la ligne simple, ni d’es­pace entre les pa­ra­graphes)

4)
J-C
, le 08.01.2008 à 19:38

Bon­jour à tous!

Je n’ose­rais dire que toute l’Afrique était dans l’at­tente d’une news pa­reille, mais dans ce do­maine, les uti­li­sa­teurs Mac n’ont pas été ou­bliés, avec le lo­gi­ciel ContreP, tout sim­ple­ment…

http://​home.​tele2.​fr/​zeldaprod/​

Bien sé­né­ga­lai­se­ment

5)
In­connu
, le 08.01.2008 à 20:39

Bon, à peu près tout ré­solu sauf dans le texte des « Plaintes d’une femme déçue » où il y a des er­reurs de trans­crip­tion. On en peut trou­ver une ver­sion ici : http://​w3.​teaser.​fr/​~jjrey/udp/98-99/plaintes_­rep.html

À me pas naître entre moules teintes !

Enjoy !

So­heil : connu mais tou­jours aussi gé­nial !

6)
Ma­dame Pop­pins
, le 08.01.2008 à 21:20

Merci : ça fait un peu “so­lu­tions pour les nuls” mais bon, faut oser dire quand on ne pige pas, c’est le seul moyen de peut-être rire après l’ex­pli­ca­tion !

So­heil, je ne connais­sais pas et je trouve juste ex­cellent !

Bonne soi­rée,

7)
David Klaus
, le 08.01.2008 à 21:39

Su­perbe. J’amè­ne­rai ça en classe de­main! Merci!

8)
zit
, le 08.01.2008 à 23:35

Sol­heil, je trouve ça vrai­ment char­mant aussi ;o)

Les solu­tions noc­turnes font pâle li­te­rie.

Sou­vent à peu, nous al­lons dîner; au palais de la Chine, une bonne table. Après l’apéro, bien mus par l’anis, la rouille coule dans la soupe, des nouilles, à qui? La bête aux livres…

z (c’est quand même moins drôle comme ça, je ré­pêêêêête: non,non, là, yen a pas, mais ma pré­fé­rée, c’est bien: il fait beau et chaud ;o)

9)
Ma­thieu Bes­son
, le 08.01.2008 à 23:43

Oups… Il n’y a pas de re­tours cha­riot…

Fran­çois, tu peux sup­pri­mer, please? Je m’ex­cuse, j’ai bédé…

10)
Ma­thieu Bes­son
, le 08.01.2008 à 23:47

Clap deuxième.

Allez, c’est un peu tard pour com­men­ter, mais bon. D’ailleurs, c’est un jeu qui existe dans d’autre langues que le fran­çais, le contre­pet?

J’en ra­joute… quelques-uns (je n’ai pas vé­ri­fié si cer­tains font dou­blons avec ceux déjà men­tion­nés, dé­solé!)

C’est un “petit” flo­ri­lège que je m’étais consti­tué du­rant mes jeunes an­nées et que je res­sors pour l’oc­ca­sion d’un vieux ba­ckup. Tou­jours bien ba­cku­per. Ac­cro­chez-vous, c’est parti…

Dans les sta­tis­tiques, il faut se mé­fier du poids de la Chine. (Pro­fes­seur Lam­be­let, HEC, 31.10.1994)

J’ai des re­bords à mes épau­lettes.

L’as­pi­rant ha­bite Javel. (celle-là, elle va vous ré­sis­ter)

Le Contre­pet ne sus­cite que des ou­vrages bien tenus.

— Salut, Fred. — Salut, Pa­trick.

Tu n’aimes pas les chats vi­cieux ?

— J’au­rais cru que vos perles coû­taient da­van­tage…

— Je don­ne­rais bien ma paie pour votre rubis.

— C’est un pull de quoi ?

— Les col­liers, ça fait tou­jours chic.

— Ne faites pas cette mine de par­tir.

— Bouche le lait !

— Vive le lait !

Ces an­nonces sont très lues.

Faire curer les ci­ternes.

Quel beau mé­tier, pro­fes­seur !

Tu at­tends le pas­sage de ta belle-mère ?

Veux-tu boire ça vite ?

Un truc doux.

Tire-bottes.

Je vous ca­res­se­rais les tresses après le foot-ball.

Ad­mi­rables folles, il ne vous manque que la pa­resse.

Elle a une bouille à tenir une sa­crée couche !

Ta mine m’ins­pire de la pitié.

À pro­pos du SIDA : Je me de­mande si le sang est bien vi­dangé.

À pro­pos de vé­role : Plai­sir vaut ma­la­die, telle est l’école de la vé­rité.

À la vue des Nip­pons, la Chine se sou­lève.

Le Japon at­tire les durs.

J’ai la pu­reté d’un dieu…

Ce n’est pas parce que le gâ­teau est salé qu’il faut su­crer la soupe.

Trou­ver des cierges.

Bien qu’il fût en croix, Jésus s’est laissé adu­ler.

Les di­vi­ni­tés des Perses.

Des ailes fan­tas­tiques.

Ces in­no­centes ca­resses doivent-elles en­trer dans les fautes ?

Ces cliques font un sacré bruit de fond.

Gradé sur le tard.

L’amante se dé­foule, mais à la noce, quelle cuite !

Le tou­riste re­con­naît le Vau­dois à ses pe­tits riens.

À la sor­tie du Rhône, on voit la mer d’ici.

J’aime le Doubs quand il est cha­toyant.

J’aime étu­dier les corps dans leur chute.

Quelle veine ! C’est une au­berge !

Elles vou­draient de jo­lies fleurs pour les dé­co­rer.

Aucun homme n’est ja­mais assez fort pour ce cal­cul.

La jeune fille tous­sait en se mou­chant.

Ac­crou­pie sur la chaise, elle se chauffe le bras.

Quelles bonnes frites pour ces be­daines.

Passe-moi le rhum, que je t’en brûle dans la cuillère.

L’Ar­lé­sienne a un vieux mas bien choisi.

Ces frites me bottent !

Le maire s’exerce sous la flotte.

Le faune aime prendre la flûte de Pan.

Si votre quai est joli, notre rue l’est aussi.

Si vous êtes marié vous vous plai­rez à Ban­dol quand le vent siffle dans la rue du quai.

C’est à Rouen qu’on laisse les pé­niches.

Vous me contez la Bible !

Met­tez donc vos livres sur mon om­brelle.

Ce cas in­cite à l’hu­mour.

Une demi-livre de bourre de feutre.

L’odeur du vexin me met dans une ter­rible agi­ta­tion.

Le client avait laissé un moka dans l’auto Ka­byle.

Re­cu­lez-vous sous mon han­gar.

Le chi­rur­gien n’aime pas que l’in­fir­mière parte pen­dant les ven­touses.

La cure du foie.

Elle re­gar­dait les bis­tou­ris en quê­tant.

Ce roc est plein de confort.

Henri a été ma­culé de boue.

Le ban­quet des frau­deurs.

La no­tai­resse a un clerc qui lance des écus.

La foule se roule dans le pi­nard.

Notre gé­né­ral, quel œil, et quel or­gane !

Les jeunes filles gardent tou­jours leur cœur pour le vaincu.

Vou­lez-vous que je vous en­voie dans la culture ?

La femme a dans la peau un grain de fan­tai­sie.

En­core deux pin­sons de ni­chés.

J’ai­me­rais faire dé­chi­rer ces su­perbes ny­lons.

Nos élèves ap­prennent à cal­cu­ler en cent le­çons.

Les Russes sont en fête.

Rien n’est plus gra­cieux qu’une jeune fille en cu­lotte et en cor­set.

Quand elle voit mon sloop à quille elle envie mon sort.

La main au cœur, je n’ai pas pu.

La douane is­raé­lienne n’ad­met pas les pré­po­sés russes.

N’ou­blie pas de ga­gner ton petit mas­se­pain.

Ose­rais-tu, ma­nant, contes­ter nos par­ti­cules ?

La fée la plus ai­mante a tou­jours la fa­veur du ciel.

Quand je songe à la fic­tion des élé­ments, je suis saisi de li­vides pen­sées.

L’as­pi­rant ha­bite Javel.

Contre­pied.

La saint ni­touche trouve les dé­lits vi­cieux.

C’est un phé­no­mène vital.

C’est avec émo­tion que la Com­tesse vient de dé­cou­vrir la phi­lan­tro­pie de l’ou­vrier char­pen­tier.

Conçu rue de la Paix.

Tu ne peux te pas­ser de vac­cin dans les ré­gions où tu es.

L’élec­tri­cien re­cher­cha dans le fond, en écar­tant les caisses, les deux boîtes de piles qui lui man­quaient.

Il faut être peu pour bien dîner, ne se­rait-ce que d’un ca­ne­ton à la russe.

Oh ! Com­tesse, ca­resse ce mur d’ambre du bout des doigts et fais sans plus tar­der un bond de ta couche moel­leuse.

J’aime va­che­ment votre fran­gin !

Un vieux contrô­leur n’a pas de vas­sal.

N’éveillez ja­mais brus­que­ment les concierges.

Quand il est saoul, il n’a plus de re­mords.

Son cou est aussi large que son tronc, mais son as­tuce a du nerf pour faire en­voû­ter son papa à jeun.

Il y a ici des tentes à foi­son !

J’ai­me­rais prendre mon thé entre ces pié­tons.

Ne faut-il pas un mi­ni­mum de lai­deur dans cette belle ru­brique ?

Votre truc à l’anis n’a rien d’un marc trop doux.

Jeune homme, on ne dit pas : « Ta ten­ta­cule ! »

Ce jeune homme a une mine pi­teuse.

Votre pote a l’air mi­nable.

Je l’apai­sai en la ber­çant dou­ce­ment.

En ser­vant un gâ­teau : Vou­lez-vous l’épaisse ou la fine ?

Quand une fille vous de­mande quand elle vous re­verra : Je ne sais pas, je te laisse le choix dans la date.

Rien n’est trop beau dès qu’il s’agit de gran­deur.

Dès qu’on parle de sexe, je pointe vite le bout de mon nez.

Dans nos co­lonnes bran­chées.

Les sceaux qui scin­tillent.

Je rêve de ventes fastes.

Elle en sus­cité des pas­sions, cette belle fé­line !

Ai­me­rais-tu connaître le lit de Na­ta­cha ?

Boris Be­cker : cham­pion al­le­mand dont le ten­nis n’est pas peu to­nique.

Une foule miel­leuse de bêtes puantes.

PDG bien né.

Il s’in­té­resse à la mode aussi et raf­fole des robes osées.

Fais-toi léger pour mieux chu­ter.

Ce Bo­cuse me donne envie de béer.

Tu prends les bols ?

Vous avez vu ce Bo­kassa, dans ce clip ?

J’ai les jambes en béton dès que je cause.

Quel corps, ce juge !

Il a tou­jours épié les Mor­mons.

Ah ! La Cal­las, quel son !

Il nous pré­sente des roues bi­zarres de ba­gnoles.

Armée 1995 : l’ha­bit vert en dé­route.

Rentre ta panse quand tu dînes !

Un guide Mo­sché.

Le pho­to­graphe a es­sayé de prendre de face cet ad­mi­rable Connors.

C’est la fête dans l’abysse !

Cette co­cotte a belle mine, et cette co­quine a plein de potes.

Tu te branches sur mon la ?

J’ai subi bien des sets.

Je rêve de mater l’atome.

Bey­routh, c’est pas Tri­poli !

J’exige des pa­piers bien conden­sés.

Quel gueux, ce chro­ni­queur…

Mets donc ta cas­quette !

Il aime les crêpes des bou­seuses qu’il guette en lou­chant.

Il y a en France de drôles de par­tis de Verts !

Ar­mand ser­vait aux tables des no­vices, mais n’a pas eu la pitié des moines.

Ce chef his­to­rique est drô­le­ment fâché.

Ce que j’aime dans le clip de Ma­donna, c’est le son.

Dis, Tata, pour­quoi tu couches Ton­ton ?

Ton Ton­ton est em­bêté.

La Coupe Davis rieuse.

Les jeunes veuves raf­folent des Nuls.

Zoom sur le bob.

en 1968, les pavés avaient la pa­role.

As-tu déjà goûté la blan­quette du Qué­bec ?

J’ado­rais le ton de la Cinq.

Sad­dam, quel sale coco.

Waow, voilà une mis­sive bath !

Seles tra­vaille bien les bases du lob.

On a vu Seles en faire.

Cette en­tre­prise me fait une belle jambe.

Il n’y a que Tapie pour blo­quer le Pen.

Elle a tou­jours guetté de jeunes ta­lents qu’elle es­saie avec suc­cès.

Si vous sa­viez ce que votre plante me fait !

L’art de dé­ca­ler les sons.

Ce Barre n’est pas un grand don­neur.

Ces pros sont sa­tu­rés de foot.

Chèvres à loi­sir.

L’Afrique est bonne hô­tesse, mais ses ca­ni­cules ne m’ont pas en­bal­lée…

Jean-Paul, le Pape.

Il n’y a pas que de riches mondes.

Un pli bien dé­voyé.

Baron, votre bois va-t-il bien jus­qu’au Doubs ?

Avec sa mine de perle…

Il faut un bon coup de vin pour faire pas­ser le riz.

Le chef a fait goû­ter sa biche à la mou­tarde.

La pauvre fille gei­gnait sous l’averse.

Je crois que ce guide me botte.

Lais­sez donc ces tasses in­fectes.

Les ama­teurs de pé­tanque cherchent à se pla­cer.

Quel short in­fâme !

Oh, mais vous le ver­rez, mon solex !

Mu­rillo a peint une vierge entre deux as­cètes.

Assez de pé­da­los !

Mon­sei­gneur, pré­sen­tez-moi votre féal Jean Huss.

Même un lec­teur agile peut buter sans honte sur un cas par­ti­cu­liè­re­ment rétif et chi­ca­ner.

Ce n’est pas un mé­tier de faire du ciné…

Oh ! La foule est mar­rante !

Dan­ser comme un bal­lot.

Mam­mouth écrase les prix.

Se pas­ser le mot.

Rimer sans lai­deur.

Tai­sez-vous, en bas !

Quelle thèse aber­rante !

Sale or­bite !

Les pièces du fond.

Peau­fi­ner.

Ger­sch­win.

La pile brune.

Grands brû­lés.

Sa­gesse n’est pas folie, mais sa­gesse est source de foi.

Dan­ger de choix.

Ce pauvre gar­çon paye ses cours !

Bé­caud, puis-je vous pré­sen­ter Ma­gritte ?

Deux bonnes bre­telles.

At­ten­tion, Jerry, tu vas chu­ter !

Cindy Craw­ford a fait muter son agent.

Gran­dir n’em­pêche pas de bos­ser !

On lit et puis on rime…

Dès que je gémis, je l’alite.

Je gémis sans pou­voir l’ouïr.

Cours de Latin.

Coule-moi au fond !

Cette Bel­gique, quel en­train !

La femme es­qui­mau aime les verres polis.

Paul-Émile Vic­tor était re­froidi par les longs po­kers.

Ma­gritte, vous trou­vez ça beau ?

Et pour conclure, une que j’uti­lise sou­vent pour conclure mes lettres (et qui n’est pas gri­voise, pour le coup):

Bosses grises, et beaux grecs!

11)
Fran­çois Cuneo
, le 09.01.2008 à 06:29

Merci : ça fait un peu “so­lu­tions pour les nuls” mais bon, faut oser dire quand on ne pige pas, c’est le seul moyen de peut-être rire après l’ex­pli­ca­tion !

Le pire, c’est que même avec la so­luce, j’ai de la peine!:-)

12)
nick­ta­lop
, le 09.01.2008 à 08:30

c’est un jeu qui existe dans d’autre langues que le fran­çais, le contre­pet?

En an­glais ça s’ap­pelle spoo­ne­rism. J’aime par­ti­cu­liè­re­ment le mi­ni­mal Daffy Duck…

N.

13)
elek­trik­pep­per
, le 09.01.2008 à 08:53

D’ailleurs, c’est un jeu qui existe dans d’autre langues que le fran­çais, le contre­pet?

A ma connais­sance, en ita­lien il en existe qu’un :Il mazzo di carte