Nous avons déjà parlé ici (article de zit) des filtres, en particulier du filtre polarisant.
J’ai également déjà écrit un article sur Color Efex 2.0, que j’avais beaucoup apprécié (Color Efex, pas l’article, quoique…:-)) avec Photoshop CS2, même si j’avais pu lui faire quelques reproches au niveau de l’interface.
Les choses ont bien changé avec l’arrivée de la version 3 de Color Efex, tant au niveau du confort que des possibilités.
Cela me permet de remettre totalement à jour l’article d’avril 2006, même si vous trouverez un certain nombre de passages communs entre ce dernier et la version que vous lisez en ce moment.
À quoi servent les filtres Color Efex?
J’utilise Photoshop, comme pas mal de monde, certainement à 40 % tout au plus de ses possibilités. Et encore, je peux même enlever 10 %, et je ne suis pas sûr d’être tout à fait honnête, surtout depuis que je suis passé sur LightRoom, et que je fais un certain nombre d’améliorations d’images directement sur ce logiciel, ou alors dans LightZone, lui qui est tellement intuitif.
C’est d’ailleurs la raison principale pour laquelle je n’ai jamais testé Photoshop sur Cuk.ch: je ne m’en sens pas digne.
Je sais que certains sont capables de faire “à la main” dans Photoshop ce que je me propose de vous présenter aujourd’hui (mais en y passant beaucoup de temps malgré leur savoir, j’en suis persuadé).
Voilà c’est dit.
L’éditeur de Color Efex 3.0, c’est la société Nik Software, qui fait beaucoup parler d’elle puisqu’elle a développé avec (ou pour) Nikon Capture NX, avec ses désormais “célèbres” “U-points”, qui devraient révolutionner le traitement de l’image, si d’autres éditeurs voulaient bien se bouger le derrière intégrer ce type de technologie dans ses propres softs.
En effet, le U-point est innovant, parce qu’il permet, sans passer par des masques compliqués, d’agir sur une portion (ou des portions) de l’image, de manière presqu’instinctive.
Certes, LightZone d’une certaine manière s’approche d’une telle manière de voir, certes DxO travaille lui aussi sur des portions d’images, mais en ce qui le concerne de manière totalement automatique, vous ne pouvez pas choisir les zones.
Le U-point quant à lui est tout simplement bien plus facile à mettre en œuvre. D’ailleurs, je vous propose de voir ici de quoi il s’agit.
Cela dit, j’en parle aussi plus bas, si jamais ça vous insupporte de quitter cette page.
Toujours avant d’entrer dans le bain de la présentation du sujet, j’aimerais préciser que Photoshop propose une flopée de filtres pour nous amuser avec nos images, mais qui ne me conviennent pas vraiment. En effet, pour la plupart, ces filtres ne me sont d’aucune utilité: artistiques, déformation, esquisse, ça va un moment pour faire mumuse, mais finalement, il ne reste que les filtres “bruit”, “atténuation”, “renforcement”, éventuellement “rendu” qui me soient utiles.
Mais qu’est-ce que je n’ai pas cherché pendant des années sur Internet des filtres comme ceux qu’on peut trouver par exemple chez Cokin, que l’on place devant son appareil de photo, pour donner un effet véritablement “photographique” à notre image, comme par exemple un filtre polarisant.
Certes, le mélangeur de couches de Photoshop me permettait de retrouver la possibilité, lors d’un passage en noir et blanc, de faire, par exemple, “comme si” j’utilisais un filtre orange, afin de dramatiser les ciels.
Mais en couleurs? Je n’ai pas trouvé grand-chose…
Et puis voilà, d’un coup d’un seul, en 2006, j’ai été comblé, puisque nik Color Efex Pro 2 (quel nom!) était disponible, tant pour Photoshop Element (version 2 à 4) ou Photoshop (version 7 à CS2) et m’apportais presque tout ce que je cherchais.
Désormais, le “presque” est presque de trop… puisque les petits défauts constatés dans la version 2 sont pratiquement éradiqués, et que les possibilités se sont encore accrues.
Nik Color Efex 3 est compatible désormais
- avec Photoshop 7 jusqu’à la CS3, et une grande partie des programmes compatibles avec les plug-ins pour ce produit.
- Photoshop 2 à 6 (sur Windows, 2 à 4 sur Mac, puisque nous n’avons pas eu accès aux dernières versions, malheureusement…)
Afin d’être le plus universel possible, les captures d’écran que vous verrez dans cet article proviennent de la version Photoshopienne CS3, qu’on se le dise.
Avertissement
Contrairement à des programmes comme Aperture ou LightRoom, Nik Color Efex 3 est un touilleur de pixels. Il ne travaille pas avec du RAW, mais avec des fichiers de préférence Tiff ou PSD, ce qui implique que nous ne trouvons pas avec le fichier original plus un fichier XML de description, comme c’est souvent le cas, mais avec une image réellement modifiée à la prochaine sauvegarde.
Comme nous allons le voir, Nik Color Efex 3 mémorise ses modifications dans des calques, qui seront totalement préservés, et donc modifiables lors d’un enregistrement au format PSD.
Cela dit, le poids est bien là, et ce qui serait super, mais est-ce possible, c’est que ce type de logiciel s’intègre directement à LightRoom, et profite de ses fichiers Sidecars…
Un jour peut-être.
Cela dit, il faut bien que Photoshop nous serve encore à quelque chose, et avec Nik Color Efex 3 mes amis, c’est bien heureusement le cas.
Installation toute simple désormais
Vous pouvez acheter nik Color Efex en trois éditions:
- la “standard édition” (99 $), 15 filtres dédiés plus particulièrement à la lumière et à la couleur (Skylight, Sunshine par exemple)
- la “select edition ” (159 $), 35 filtres au total dont les 15 filtres de la SE, ajoutant des filtres du type conversion fine en noir et blanc, gestion de la netteté, polarisation (yesss!), filtres pour les portraits…
- la ” complete edition” (295 $), qui reprend les filtres précédents et en ajoute pour arriver à un total de 52 filtres pour 250 effets, dont un filtre infrarouge en noir et blanc, des filtres pour la peau “intelligents”, des équivalents “réflecteurs” (argentés, dorés…), brouillard etc.
La liste des filtres par “set” avec une petite image montrant leurs possibilités est disponible ici.
À ce niveau, j’ai toujours une toute petite critique que je faisais déjà en version 2. Personnellement, je préférerais pouvoir commander les filtres qui me plaisent, et puis c’est tout. Il me semble que certains utilisateurs vont être obligés de passer par la version complète pour avoir LE filtre qui les intéresserait. Et ça, voyez-vous, c’est bien dommage…
Même en admettant que l’éditeur vende chacun de ses filtres entre 10 et 20 € , on trouverait certainement son bonheur, sans être obligé d’acheter le reste, pour un prix évidemment moins élevé.
Nonobstant, la qualité du produit explique son prix, c’est certain. Il faudrait juste que l’on puisse choisir juste ce dont on a vraiment besoin.
Une fois l’installation terminée, sans problème et automatiquement, contrairement à ce qui s’était passé pour moi en version 2, il suffit de lancer Photoshop, et là, c’est du plaisir à l’état pur.
Deux manières d’utiliser les filtres
La traditionnelle, via le menu filtre
La seconde, propre à nik Color Efex Pro 2: la “selective tool” que l’on peut choisir d’ouvrir automatiquement au lancement de Photoshop ou non.
Une interface toute neuve, toute belle, et… redimensionnable!
Que l’on choisisse une façon de faire ou l’autre, on arrive de toute manière sur la fenêtre d’application des effets que voici:
Allez, maintenant que vous l’avez vue dépouillée, je vous la remets avec les flèches et numéro, pour me permettre d’expliquer plus bas.
Grande nouvelle: comme indiqué en titre, l’interface, moderne (si le noir ne vous plaît pas, vous pouvez choisir deux sortes de gris pour le fond) n’est plus limitée à une taille de fenêtre un peu trop petite, comme en version 2, puisqu’on peut, et c’est tellement agréable, la redimensionner.
Cette fois ça y est, on peut vraiment bosser en voyant ce que l’on fait, directement dans la fenêtre du filtre.
Voici donc les détails de cette interface:
1. Les onglets
Vous choisissez, si vous le voulez, un domaine pour le type de filtre (portrait, paysage, style, traditionnel, ou tout), ce qui vous permet de faire un pré-choix qui vous facilitera la tâche;
2. Les filtres proprement dits
Le nombre de filtres disponibles dépend de la version que vous avez achetée;
3. Les différents types de visualisation
Vous pouvez voir votre fichier “avant” et “après” application du filtre en cliquant sur la case à cocher “Aperçu” ou voir directement les différences selon trois modes. La première, affichant deux images l’une sous l’autre, comme dans la figure précédente, la seconde, affichant deux images l’une à côté de l’autre, la troisième enfin montrant l’effet en partageant l’image en deux (à gauche avant, à droite après).
4. Les différents types d’aperçus
Vous pouvez voir vos images normalement (image originale), mais également en mode “Superposition d’effets”, qui affiche les endroits où un filtre est activé à l’aide des U-points.
Prenons un exemple. Soit une photo noir et blanc, à laquelle j’applique un filtre “Burnt Sepia” violent, pour qu’on voie bien de quoi on parle.
Ici, le filtre est appliqué partout. Si je passe en mode aperçu “Superposition d’effets”, je vois ceci:
La zone rouge signifie que l’effet est marqué partout de manière uniforme.
Si je passe en mode “Masque”, j’obtiens ceci.
Les choses deviennent parlantes dès que je place un U-point!
Je place donc un U-point qui couvre le visage de Juliette, de type “Réduction d’effet”
Le mode d’aperçu Superposition d’effets donne ceci:
En rouge, les zones où l’effet sera appliqué
Le mode d’aperçu “Masque” donne ceci:
En blanc, les zones où l’effet sera appliqué
5. Les diffents modes de curseur
Du traditionnel:
- pointeur
- loupe
- déplacement dans l’image en mode loupe
- la petite ampoule à droite (6) permettant de changer l’arrière fond, comme décrit plus haut
7. Les outils dédiés à chaque filtre
Les outils pour un effet “Burnt Sienna”
D’autres pour le filtre “Graduated Filters”
Ces outils intègrent les U-Points, dont je vais reparler plus bas.
8. Les sets de réglages pour chaque filtre
4 emplacements par filtre sont disponibles, en plus du réglage par défaut
9. La loupe “Avant après” permettant d’avoir un aperçu rapide des détails.
10. Le bouton “Ok” qui applique le filtre sur toute l’image (en tenant compte des éventuels U-Points)
11. Le bouton “Pinceau”, ou mode d’édition sélective
Ce mode permet de travailler sur une partie seulement de l’image.
On quitte alors l’interface de Nik Color Efex 3 et l’on se retrouve à dessiner avec l’outil pinceau de Photoshop, dont on peut changer tous les paramètres (taille, dureté), ou à appliquer le filtre à l’aide de l’outil “Dégradé” de Photoshop.
Un filtre “brouillard” que l’on peint sur l’image. Ok c’est violent comme effet, mais il faut bien que vous voyiez quelque chose qui saute aux yeux, c’est pour l’exemple donc…
La palette sélective dans ce mode affiche quelques boutons supplémentaires.
- Dessin (pour ajouter de l’effet)
- Supprimer (pour l’effacer)
- Remplir (qui aura pour effet de placer le filtre sur toute l’image
- Effacer (qui supprimera l’effet du flitre sur toute l’image).
Notez que ces actions peuvent être annulées par le menu Edition de Photoshop.
Tiens, il ne faisait pas si clair que ça, tout compte fait, au sommet de ce col!
Une fois que l’on est content de son travail, il suffit de cliquer sur “Appliquer”. C’est bien plus simple qu’en version 2 tout ça.
Ce qu’il faut comprendre
Que vous utilisiez une méthode ou une autre, chaque filtre appliqué sera considéré comme un calque de fusion.
Vous pourrez jouer avec les paramètres habituels du calque ensuite, une fois le filtre appliqué, mais un double-clic sur le calque n’affiche pas à nouveau le filtre avec les réglages dédiés.
Une fois que le filtre est appliqué à une image, on ne peut plus intervenir sur ses réglages propres. On ne peut agir que sur les paramètres du calque, de manière traditionnelle donc, dans Photoshop.
Heu… Est-ce que je suis clair? Pas sûr…
Un exemple, un exemple!
Bon bon, ne criez pas, inutile de mettre tout en gras, de mettre des points d’exclamation et tout et tout…
Je vais le faire.
Soit une première image.
Je lui applique un filtre gradué olive.
Je lui applique ensuite un filtre supplémentaire de ce type:
Ce qui nous donne ceci:
Au final nous obtenons la photo suivante:
Avec les deux calques de fusion
Les U-points
Quelques précisions supplémentaires sur les U-points qui le méritent bien.
Comme indiqué plus haut, ces points de contrôle vous donne accès à des zones sur lesquelles vous allez ajouter un effet de filtre, ou au contraire en enlever.
Deux types de points de contrôle sont disponibles.
Pour illustrer ces propos, voici une série de captures d’écran montrant bien de quoi il en retourne, tout en étant bien d’accord que si le sujet est charmant, ce que j’en fais est une horreur. C’est juste pour montrer donc, je le répète. Et que choisir de plus évident qu’une conversion noir et blanc de notre image de départ?
Nous appliquons un point de contrôle de tpye “opacité 0”, c’est-à-dire créé pour diminuer l’intensité du filtre de base. En d’autres termes, le filtre est appliqué autour de la zone “contrôlée” mais pas à l’intérieur.
Ici, vous voyez la portée du point de contrôle réglée par un cursuseur directement sur ledit point de contrôle: l’intérieur du cercle ne laisse pas passer le filtre, à un certain pourcentage.
Voici le résultat à droite. Vous remarquez que le passage est très doux de la zone “sans” à la zone “avec”.
Ici, la portée du point de contrôle est très réduite.
Il est également possible, toujours via un curseur, de choisir le taux d’opacité de la zone contrôlée.
100% d’opacité
50%…
… et 0 % (donc sans effet).
Il est possible également de travailler dans l’autre sens, à l’aide des points de contrôle de type Opacité 100.
En ce cas, le filtre est appliqué dans le point de contrôle, mais pas autour.
Un exemple de type de point de contrôle “Opacité 100”.
Niveau qualité…
Les filtres nik Color Efex Pro 3 sont d’une qualité impressionnante. En effet, ils travaillent en 16 bits et utilisent une technologie sophistiquée, appelée “The True Light ™”, qui va analyser (je reprends les dires de l’éditeur, je ne suis pas dedans) précisément et intelligemment les relations dans l’image entre le contraste, les couleurs et les détails.
Certes, certains filtres me sont totalement inutiles, mais d’autres, comme le filtre polarisant, les déflecteurs argentés et dorés, ainsi que les flous ou les filtres de de rendu nocturne me semblent particulièrement intéressants.
Certains dégradés sont également impressionnants, et peuvent être appliqués tout en finesse.
En conclusion
Le numérique a tout de même du bon.
Quand je pense qu’en argentique, il fallait se promener avec des valises de filtres pour arriver au même résultat, sans pouvoir vraiment jouer sur les paramètres, à moins d’être un spécialiste!
Ici, vous travaillez tranquillement, vous modifiez, vous cumulez les effets (molo, molo, faut pas abuser non plus…), devant votre écran, sans la moindre difficulté.
Comme je l’ai écrit en introduction, je suis conscient qu’une bête en Photoshop est certainement capable d’arriver aux mêmes résultats sans avoir à acheter ces produits.
Certes.
Mais il lui faudra beaucoup de temps.
Moi, sans nik Color Efex Pro 3, je n’y arrive pas, et avec, il ne me faut pas plus de quelques minutes pour parvenir à mes fins.
Cela dans des conditions de confort, avec une maîtrise des zones déjà simples en version 2, mais encore bien plus instinctives et faciles à mettre en œuvre en version 3.
L’ajout des points de contrôle et la toute nouvelle interface redimensionnable de cette nouvelle mouture apportent un confort de travail, et une précision vraiment agréables.
Donc merci à cet éditeur de me donner tout ce plaisir, toute cette facilité, pour m’amuser avec mes images.
Notez qu’une version démo est téléchargeable ici, ceci afin que vous fassiez vos propres essais.
Vous savez quoi?
J’adore Nik Color Efex 3 pour toutes ses qualités, mais aussi pour une chose qui me semblait être d’un autre temps: cet ensemble de filtres me donne une raison d’apprécier Photoshop.
Ce n’est pas rien, je peux vous l’assurer.
, le 30.11.2007 à 07:54
si je m’acquitte de la modique somme de 300 euros, vont-ils me rendre mes 5 cents….
, le 30.11.2007 à 08:13
Des filtres pour la peau intelligents, certes, mais qui ne préservent pas celle des fesses!
Milsabor!
, le 30.11.2007 à 08:20
C’est le problème de tout ces soft destiné aux professionnels (riches)…
Merci pour ce test François, je n’avais jamais tester les filtres. J’avais déjà tester “Nik Sharpener Pro 2.0” vraiment très efficace mais encore plus chère…
, le 30.11.2007 à 10:37
Sur le site Digital Outback
Il y a également un article bien moins détaillé MAIS il y a un lien vers un script qui permet d’utilser Efex Pro 3.0 dans les Smart Filters.
A+, les cukiens
, le 30.11.2007 à 10:56
C’est aujourd’hui Noël… Merci Saint Nikonlas
Filtres Nik Color Efex Pro 2.0 pour Nikon Capture 4, Nikon PictureProject ou Photoshop
Saturation et luminosité, Gradué 201h, Bicolore : Violet / Rose, Minuit-sépia
Filtres Nik Color Efex Pro 2.0 pour Nikon Capture 4 & Nikon PictureProject (filtres incompatibles avec Photoshop)
Paper Toner, Filtre Ink, Colorize, Monday Morning – Green, Midnight Blue, Couleur Café, Noir et blanc
, le 30.11.2007 à 13:07
Ouai, enfin, bon, on fait la même chose avec Picasa hein… ;-)
, le 30.11.2007 à 14:59
Super test, François. Je dois dire que je suis très impressioné par la technologie U–Point, c’est vraiment fabuleux, une sorte de “baguette magique” intelligente et subtile, sans ce minable et horripilant réglage de la tolérance (il y a des maisons pour ça).
Mais et le “filtre polarisant” alors, il fonctionne comme un vrai ou bieen?
z (bien content d’être de retour sur cuk, je répêêêête: ça fait du bien…)
, le 30.11.2007 à 15:01
J’espère que ta fille ne verra jamais certaines de ces photos….
, le 30.11.2007 à 16:20
Dépenser 295 $ pour le plaisir de massacrer ses enfants…
Que fait la police ?
, le 30.11.2007 à 17:49
Comme beaucoup, je trouve ces filtres magnifique… mais hors de prix pour un amateur. Par contre j’apprécie énormément les u-point sur Nikon Capture NX.
, le 30.11.2007 à 21:41
Merci Zit, ça fait du bien…
, le 30.11.2007 à 22:24
Pour répondre à ta question Zit, le filtre polarisant a le même effet sur les ciels nuageux. mais je ne l’ai pas essayé sur les reflets.