Les photographies de l’humeur de ce matin ont été réalisés avec le Canon EOS 5D gentiment offert par François à tous les nouveaux rédacteurs de Cuk.ch (merci encore, hein, François!), boîtier formidable, mais que je suis encore loin de maitriser. Surtout pour ce qui concerne l’auto–focus, dispositif que je déteste, et qui me le rends bien: les meilleures photos de cet évènement sont parties à la poubelle, mon sujet complètement flou, et les immeubles en arrière–plan, magnifiquement nets, Canon aime la vieille pierre hausmanienne :~(
Non Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas, sur cuk, vendredi dernier, François vous présentait le travail de Jóhannes Ásgeir Eiríksson., une fraction de seconde de prise de vue, des heures de retouche dans Photoshop. Pour ma part, c’est tout le contraire: prise de vue en Jipaigue, un passage dans GraphicConverter pour diminuer la résolution, et c’est tout!
En début de semaine, Francois faisait un panégérique de la photographie numérique, son ardeur tempérée par toujours les mêmes grognons (dont je fais un peu partie), avec des a priori souvent justifiés par ailleurs.
Non, le numérique n’est pas la panacée! C’est parfois très pratique, effectivement bien plus rapide que l’argentique si on ne compte pas la post–prod, mais ça n’a pas que des avantages…
En particulier, pour les gens dont la profession consiste à prendre des photographies pour le compte de clients. C’est de plus en plus dur:
“Avant”, les frais techniques (achat de films, développement, tirages, numérisation –photogravure– etc…) étaient pris en charge par le client, et donc sous–traités par le photographe, aujourd’hui, grâce au numérique et au bénéfice entier du client, cette ligne a disparu des factures… Mais le travail, s’il a évolué, reste à effectuer…
Le photographe est devenu laborantin, tireur, voire photograveur dans le pire des cas… Evidement, tous ces métiers ont presque disparu (et les emplois qui allaient avec…). Donc, pour un temps de travail au moins multiplié par deux, le photographe ne gagne pas plus (voire moins, nombreux sont ceux qui disent “ça eût payé”), et si on compte les investissements de matos évoqués lundi, c’est devenu vraiment difficile pour certains de joindre les deux bouts. Mais c’est un débat qui mériterait d’être approfondi dans une autre chronique…
Pour en revenir à l’humeur de ce matin, je dois admetre que certaines photos auraient bien besoin d’être “boostées” un poil…
Celle–là, par exemple, en léger contre–jour et sans soleil…
On peut, d’un petit passage dans le formidable outil “Tons foncés/tons clairs” en faire ça:
c’est mieux, non?.
Mais je suis un grand paresseux (pas feignant, hein, non mais parce que ça n’est pas du tout la même chose hein! le paresseux va mettre en marche la quasi-totalité de ses neurones et presques toutes les synapses fonctionnelles pour accomplir sa tâche du mieux possible, dès le premier coup, pour ne pas avoir à repasser derrière, le feignant, lui, va mettre en œuvre les mêmes moyens pour trouver toutes les excuses imaginables pour ne pas bouger le petit doigt: chefs d’entreprises qui nous lisez, embauchez des paresseux, il n’y a pas plus efficace!) et je préfère de loin une photo bonne à publier dès le déclenchement!
Et celle–là, alors, mêmes conditions de lumière défavorables, pour un résultat catastrophique…
Encore un passage dans “Tons foncés/tons clairs”, le recadrage indispensable pour éjecter les éléments parasites, je préfère, pas vous? On pourrait même, d’un coup de tampon, faire disparaitre le bout de sac au premier plan en bas à droite et, par la même occasion, rendre l’extrémité de son pied gauche à la jeune femme qui se trouve caché derrière, et puis aller chercher sur une autre image les statues dorées qui ornent le haut de l’arc de triomphe du Carrousel pour rectifier ce cadrage plus qu’approximatif (dans le feu de l’action, avec un vélo entre les jambes et des palmes roses battant au vent sous le nez, je m’auto–excuse sans problème… Le meilleur outil photographique que j’aie acheté ces derniers jours, c’est bien cette béquille pour mon vélo!).
La meilleure solution à ce problème, c’est encore de savoir ne pas déclencher, quand on sent que la photo ne sera pas bonne, ça demande une bonne expérience de la technique, et une bonne connaissance de son matériel. Il suffit parfois de se déplacer de quelques mètres pour avoir une lumière plus favorable… Pour ce qui concerne les contre–jours, j’ai été mal habitué par les viseurs des Leica M, tellement lumineux et contrastés que ces situations de lumière vous sautent littéralement à l’œil (la première fois, ça fait mal! ;o).
Une autre solution élégante aurait été de ne pas publier de mauvaises photos, d’ailleurs, si vous le demandez gentiment en commentaire, c’est ce que je ferais sans états d’âme. A l’instar de nombreux photographes, il m’arrive un moment dans la longue tâche de l’éditing où je ne sais plus ce qui est bon tout court, bon à jeter, ou tellement mauvais qu’on ferait bien d’abandonner la photo pour se consacrer exclusivement au point de croix.
Mais bon, si j’avais fait cela, on n’aurait pas pu parler photo, hein… ;o)
Revenons, au 5D. Ce que j’apprécie particulièrement, avec cet appareil (comme avec la plupart des boîtiers Canon au demeurant), c’est sa capacité à fournir des Jipaigue de très bonne facture, ne nécessitant pas ou peu de retouche… Pas comme les Nikon que j’ai essayé (D1x, D100, D70, D200), qui “en ont dans le ventre” pour peu qu’on s’escrime avec le formidablement puissant et convivial et original (et incroyablement lent, sur macIntel) Nikon Capture NX, mais dont les jipaigue bruts de capteur sont très très décevants. Ça me fait d’autant plus mal d’écrire ça que je suis depuis toujours nikoniste forcené et leicaiste convaincu (avec le logo Nikon tatoué sur la fesse droite et la pastille rouge Leica sur la gauche, je n’ai plus de place pour Canon…). Et non, Non, NON, je ne vais pas me séparer de mes premières maitresses, d’ailleurs, l’autre jour, j’ai vu un F6 qui me regardait avec un petit air…
Que je n’apprécie pas du tout certains détails d’ergonomie des Canon (jamais pu me souvenir de la signification de leurs pictogrammes de mesure de la lumière, contrairement à Nikon, chez qui ils sont… lumineux).
Que je trouve certaines idées d’ergonomie très pratique chez Nikon, absentes des Canon (en particulier le “formatage rapide”, les réglages “photographiques” directement accessibles par le procédé “un bouton = une fonction”). Que c’est quand même moins bien fini, ça fait même très “plastoc”, pour un appareil de ce prix là (heuuu, merci encore, François ;o).
Que quelques infos en plus dans le viseur, ça ne serait pas du luxe (genre le mode de balance des blancs et le rappel de la sensibilité ISO).
Que (ça c’est mon côté gôchiste bêêêlant qui ressort) je n’aime pas les “gros”, et Canon est, de très loin, le plus gros dans ce secteur. Plus sérieusement, les politiques commerciales et de marketing de cette boîte me déplaisent considérablement (Canon, c’est un peu le Microsoft de la photo, pour moi).
Que, là c’est très subjectif, le rendu des optiques Canon me plais moins que le rendu hyper contrasté des optiques Nikon (bien qu’avec les traitements multicouches des “série L” on s’en approche), certes, c’est plus naturel, mais je ne suis pas habitué à cette douceur. Quand au Leica, c’est vraiment pas le même niveau… On ne peut rien comparer à une Rolls, ça n’a pas de sens!
Et puis cette prise sychro–flash, là, sous ce gigantesque cache en plastique inamovible: dix séances de studio, et on n’en parle plus, du cache, quelle bêtise ce truc!
Que leur système flash, c’est vraiment pas aussi performant que ce que propose Nikon, avec le multi–flash TTL sans fil, mais en même temps, si l’on souhaite une bonne qualité de lumière, le résultat sera tellement supérieur avec une ou deux torches compactes d’un vrai système de flash de studio et une mesure au flashmètre et le choix entre Snoots, bols équipés de nids d’abeilles, parapluies ou boîtes à lumière (bon, c’est un poil plus encombrant, sur le porte–bagages du vélo…).
Bon, fini de dire du mal (ce n’est pas la ligne éditoriale de ce site: “si tu n’aimes pas, tu fermes ta gueule”, ou exprimé en termes plus choisis et bien plus élégants: “pourquoi perdre du temps à parler de ce que l’on aime pas, alors que l’on trouve tant de choses formidables pour s’enthousiasmer dans le monde qui nous entoure?”), je n’ai mentionné que de petits défauts (d’ailleurs, François pense pareil) d’un appareil qui, je le répêêête, est formidable, et pour les louanges, reportez vous au test qu’en a fait François, vous savez, le patron d’ici qui est en vacances, le spécialiste des tests ultra–complets…
Pour en revenir à l’extraordinaire outil qu’est “Tons foncés/Tons clairs” de Photoshop (menu Image–Réglages–(et presque tout en bas) Tons foncés/Tons clairs…) –bon, va falloir que je pense sérieusement à demander une beta de Skitch, moi, si je veux pas continuer à faire pitié–, si un spécialiste pouvait nous éclairer sur l’utilisation de tous ces petits curseurs, ça serait fantastique!
C’est un outil que m’a fait découvrir un (autre) voisin l’année dernière, et le résultat avec les images “difficiles” est vraiment impressionnant. Cependant, je l’utilise à taton, sans vraiment comprendre comment il fonctionne, et ce n’est pas très fiable, la méthode empirique, avec les pixels. En plus, je suis certain que, sachant quoi faire, j’y arriverais plus vite et mieux…
, le 27.07.2007 à 14:48
si tu as un mac, essayes iphoto, il est livré avec, et pour du jpaige tout simple il suffit largement. Il redresse même les photos “fousquaires” comme l’on dit chez nous. Manque plus qu’il développe les raws et cela serrait le soft de l’année.
MORTS AU RAWS
P.S. ton apn à un bon objo qi à du piquet, et le bouquet es bien auçi…
, le 27.07.2007 à 14:56
zit. à écrit : “c’est mieux, non?”
Non ! Les deux photos retouchées me plaisent moins que les originales. Sur la première, le rayon choisi dans l’outil tons clairs/tons foncés est si petit que l’on voit des halos de lumière un peu partout. Sur la deuxième, en plus de ce problème, tout est gris tellement le réglage est poussé. Les retouches sont tellement plus belles lorsqu’elles ne se voient pas… c’est vraiment dommage ici.
L’outil tons clairs/tons foncés… je le trouve génial également, mais pas si facile à manier pour qu’on ne voie pas immédiatement qu’il a été utilisé et/ou qu’on en a abusé. Je conseille de l’utiliser de la même manière qu’Adobe conseille d’utiliser Clarity dans Lightroom : Pousser le réglage jusqu’à ce que vous distinguiez un halo autour d’un sujet contrasté, puis atténuer le réglage pour ne plus voir ce halo. (Et dans le cas de l’outils tons clairs/foncés, il faut généralement augmenter la valeur du rayon d’action)
, le 27.07.2007 à 16:27
Même remarque sur les tons foncés/clairs. Le résultat est vraiment criard, et c’est pas la peine de vanter les mérites d’une rolls quand on n’a pas son permis ! (comment ça je suis jaloux?) ;O)
, le 27.07.2007 à 16:41
J’ me disais aussi que la traîtrise a ses limites
que le viseur télémétrique délimite
ça me donne une idée pour demain, tout ça…
, le 27.07.2007 à 17:08
Des limites à mes triques ?
, le 27.07.2007 à 17:23
Ne s’appelle t’il pas “Aperture” … ce soft de l’année ?? … que d’aucuns ont bien vite remisé aux oubliettes et remplacé par “Chambre Lumineuse” !
Avec ça au moins, on met tout le monde d’accord sur un point : la prononciation !
, le 27.07.2007 à 18:05
Qu’est ce que tu appelles développer les raw? Si c’est bêtement les afficher, il me semble qu’il sait le faire, vu que la gestion des RAW dans Aperture est assurée par le système et non Aperture lui même.
D’ailleurs, chez apple il y a cette page: http://docs.info.apple.com/article.html?artnum=303554
, le 27.07.2007 à 18:21
de quelle année !!!
les afficher oui iphoto le fait, ce que je lui demanderais en plus serait de pouvoir les traiter de façon simple, sans avoir besoin d’une usine à gaz pour ce faire cuire un oeuf ou même de plusieurs usines, Aperture, Bibble, SILKYPIX Developer Studio, Rawdeveloper, CaptureOne, raw photo processor, dxo, lightroom, light zone, etc… etc….. etc… tous ces softs ont été traités ou presque sur ce site et portés aux nues…. pour 6 mois maximum.
du temps de l’argentique il y avait des révélateurs à tout faire de façon simple je pense entre autre au 10, 100, 1000 10g de Génol ,100g de sulfite de sodium et 1000g d’eau, avec celui-là on développait tout les films nb, c’est ce dont je rêve pour iphoto.
P.S. j’ajoute pour le fun que je faisais développer leur premier film (périmé et voilé par mes soins), avec ce révélateur à mes aprentis et pas dans les grands bacs ni les cuves à spirales, ils y allaient de bon coeur, les mains dans la soupe, ensuite dans le bain d’arrêt, le fixateur et le lavage, ah la belle couleur brun foncé des paluches me faisait hurler de rire, ils en avaient au moins pour 15 jours avant que cela ne parte et en plus je les engueulais gentiment pour le film tout noir qu’ils avaient si bien développé. Le deuxième gag était de leur faire respirer l’acide acétique, ils ouvraient le bidon, mettaient leur nez au dessus, ils avaient les sinus bien dégagés, ce qui me permettait de leur apprendre que l’on ne sent jamais la bouteille mais son bouchon.
, le 28.07.2007 à 00:46
Tout à fait d’accord avec toi ! Et je revendique (la fainéantise hein, pas ta phrase ;-) ).
Quoique… J’ai un oncle (qui a bien réussi dans la vie) qui m’a appris une phrase que j’adore : – Fainéant : quel vilain mot mais… quel beau métier !
Merci Oncle Albert :-D
Didier
PS : pour moi aussi les photos retouchées sont un peu trop criardes mais bon, j’ai souvent le même défaut alors je ne vais rien dire… ;-)
, le 28.07.2007 à 11:15
fxprod, iPhoto, je le hais, celui là, c’est un soft que j’efface tout symplement du disque dur… Mais qu’est ce que ça veut dire, ce truc qui vient s’ouvrir automatiquement à chaque fois que l’on insère une carte memoire das un lecteur ou que l’on branche un APN, et surtout, si tu ne lui as pas dit :”non, mon gars, je ne souhaite pas que tu t’ouvres automatiquement à chaque fois que je met une carte ou que je branche un APN” a la premiere ouverture, il n’y a rien pour le faire changer d’avis apres, beuarck!
Noliv, merci pour ces précisions concernant le rayon, mais Allo, allo, je ne vois pas ces salops de hallos!
Ca doit être que mon écran est trop pourri…
Al1, la Rolls que je vante, je ne l’avions point emmenée, ce jour là, le 5D, si je devais lui trouver une annalogie polluante, ce serait plutôt… un breack Volvo?
z (bon, j’entends le cri du dérailleur qui m’appelle, je répêêête: bon, j’entends le cri du dérailleur qui m’appelle)
, le 28.07.2007 à 11:50
l’outil Tons foncés/tons clairs ça devrait être interdit !
beurk
, le 28.07.2007 à 13:34
Tu ouvres les préférences de l’appli “Transfert d’images” installée avec le système et tu choisis ce que tu veux quand tu veux.
Benoit
, le 28.07.2007 à 19:49
Salut Je vous rappelle (il est vrai qu’on y pense jamais assez ! :-) que tous ces filtres PhotoShop… puissants comme “tons foncés-tons clairs”… ne sont pas obligatoirement à utiliser sur la totalité l’image… on peut très bien détourer certaines zones et ne faire agir les filtres qu’à l’endroit précis où c’est profitable à la photo… bien entendu, ça demande un peu de boulot supplémentaire… mais c’est assez génial niveau résultats ! Bel été… et à la prochaine :-) Weiki
, le 28.07.2007 à 19:56
Salut ! Au risque d’enfoncer le clou…
L’abus de “tons foncés-tons clairs” détruit littéralement vos photos… Dont l’aspect devient complètement artificiel… Ce n’est vraiment pas une réussite ;-)
C’est un outil pratique mais dont il ne faut pas zabuzer !
, le 28.07.2007 à 22:49
Bon, alors…
Le 5D, sache cher contributeur que je ne l’ai jamais offert à personne, tu n’es pas le seul à ne pas l’avoir reçu donc!
Je sais, ça va sans dire mais encore mieux en le disant!:-)
Je suis d’accord avec les remarques sur l’outil Tons foncés-tons clairs est trop forcé.
Le Canon 5D a l’un des meilleur rendu.
Certes, sa gestion deux boutons une fonction m’ennuie aussi.
Que bon sang Zit, t’es rigolo, mais on s’en fout complètement que le Canon 5D soit bon pour tirer du JPEG.
Il ne faut PLUS prendre des images en JPEG, c’est du massacre…
Il y a un an, avant le Macintel, j’étais d’accord que le RAW était lent. Mais maintenant… Avec Lightroom par exemple… S’il te plaît…
Et pour Jeeper… S’il y en a un qui est à la ramasse en ce moment, c’est bien Aperture… Pas vraiment au niveau des ses possibilités, qui sont de haut niveau. Mais personne ne sait où il va.
Actuellement, il est suicidaire de partir sur Aperture, quand on a un Lightroom signé Adobe qui est sur le marché.
Quant au fait que tu n’aies pas vu qu’il fallait passer par Transfert d’images pour changer l’ouverture automatique d’iPhoto lorsqu’on insère une carte mémoire, on ne peut pas t’en vouloir.
Encore une lamentable connerie d’Apple qui disperse ce genre de préférences un peu n’importe où. Le minimum serait de mettre cette préférence dans… Préférences système.
, le 30.07.2007 à 18:32
François, pardon je vais encore te saoûler avec mon couplet du “t’as-bien-d’la-chance-d’avoir-du-matos-de-pro-et-à-jour”, mais, heu comment dire …
t’as-bien-d’la-chance-d’avoir-du-matos-de-pro-et-à-jour ! :)
Je viens de me ruiner pour un Sony DSC-R1 (quel pied cet appareil, avec sa visée à l’écran sur le dessus, j’ai l’impression d’avoir un blad ou un rolleiflex entre les mains !), et d’office je l’ai réglé sur JPEG uniquement.
Je veux bien entendre que le RAW est à choisir si tu as un mac Intel, mais pour un vieux G4 c’est tout simplement inenvisageable. Surtout que quand tu as acheté ton mac tout neuf il te reste encore à t’offrir les logiciels de traitement qui vont avec. J’ai déjà assez de goûts de luxe comme ça, je ne veux pas entrevoir le quart du millième des monts et merveilles que ça apporte !
Tout ça pour dire que ta phrase “il ne faut PLUS prendre des images en JPEG, c’est du massacre…” ne s’adresse qu’aux photographes pros qui savent ce qu’ils ont à faire, et laisse les autres face à leur frustration. Et ça c’est pas gentil !
, le 02.08.2007 à 00:20
Bon, à tous, je viens de regarder les images “corrigées” sur un autre écran que celui sur lequel je les avait modifiées: c’est vrai que ça fait un peu criard (d’autant plus que je les ai aussi vues sur un 15” cathodique sur un PC et qu’elles étaient bien mieux…), pourtant, mes palmes, elles sont bien rôses… Tout ça ne fait que me renforcer dans ma conviction que le numérique, c’est pas encore complètement au point: quand je mets une Velvia sur la table lumineuse, ça pêêêête tout de suite! Et comme je l’ai déjà dit, je ne suis pas encore habitué au rendu “mou” des optiques Canon…
Al1, on doit aussi savoir faire des choix: je n’ai pas de voiture, ni de deux roues motorisé, cela m’autorise l’achât de matos photo “onéreux”.
Quand au jipaigue, François, je persisterais encore un moment: pour moi, soit une photo est bonne, soit elle n’est pas bonne (c’est bien plus souvent le cas;o), c’est pas en la triturant dans tous les sens qu’on va en faire quelque chose de bien… (quoique j’ai encore entendu dire le plus grand bien de Bibble aujourd’hui même, faudrait que j’essayerais, quand même…)
z (en tout cas, formidable, les jipaigues du 5D, je répêêête: en tout cas, formidable, les jipaigues du 5D)