J'avais quelques objectifs au niveau photographie panoramique pendant ces petites vacances d'automne, à Fabregas. De cela, je vais vous parler vendredi.
J'avais décidé de ne prendre avec moi pour ces vacances que le Canon 400D, et de laisser à la maison mon 5D, histoire de ne pas me surcharger, et surtout de ne pas avoir le choix. Je me connais, si je l'ai, je prends le 5D, pour "si jamais", même si le "si jamais" qui imposerait le 5D à la place du 400D est ma foi fort rare.
Je voulais partir "léger", et voir si, malgré cela, j'avais du plaisir à photographier. Ce plaisir tellement absent de tous les bridges à viseur électronique, tellement absent également de tous ces compacts, aussi excellents que certains puissent être (voir les derniers Fuji).
J'ai pris dans mon sac à dos Loewer Pro (qu'est-ce qu'ils sont bien foutus ces sacs quel que soit le modèle!) et y ai placé le 400D, le 18-55 pour quand je veux me promener qu'avec mon fourre-tout (Lower Pro également), le 17-40 f4 (constant) et le 70-200 f2.8 (constant aussi) stabilisé, ma télécommande et un flash 580EX.
Eh bien je n'ai pas été déçu: le plaisir est là, bien là. Voyons pourquoi.
Et il faut bien l'avouer: quel bonheur de se promener dans Toulon, sans avoir l'épaule qui se déboîte au bout de deux heures, le 17-40 accouplé au 400D! Ces deux font la paire, c'est vraiment superbe. Parce que oui, le 18-55 d'origine est un peu faible, c'est clair, au niveau du piqué. Il faudrait à se propos que Canon se bouge le derrière pour offrir une optique pas trop chère, mais juste un peu plus quand même, qui soit meilleure que celle-là. Olympus y arrive bien avec son E-400, pourquoi pas Canon?
Rigolo de voir que dans Réponses Photo du mois de novembre 2006, ils vomissent sur cet objectif (ce que je peux comprendre), mais tout est relatif voyez-vous: en effet, le gagnant du concours couleur dans le même numéro a pris sa photo avec un… Canon 350D accouplé au, je vous le donne en mille, 18-55! Comme quoi, l'appareil ne fait vraiment pas tout, aussi bien dans le négatif que dans le positif, nous ne le répéterons jamais assez.
Par contre le 17-40L, pas trop volumineux et ma fois très léger (eh oui, ce n'est pas un f 2.8 constant, ça a aussi ses avantages), c'est extraordinaire. Avec un coefficient d'agrandissement de *1.6, cet objectif devient sur le 400D un 29-64, ce qui est très agréable, même si évidemment, je ne retrouve pas tout à fait la latitude de mon 24-70 sur le 5D.
Je rêve tout de même d'un équivalent 18-200 Nikon, stabilisé, d'excellente qualité, pour ce petit Canon. Il y a bien le Tamron et le Sigma, tous deux également 18-200, mais avec une ouverture minimale glissante un peu faible, sans stabilisation, et surtout, surtout, qui sont dépourvus de l'USM, ce qui les rend bruyants et tout de même un peu plus lents que les objectifs de la marque qui le proposent.
Remarquez que l'avantage du 17-40, c'est d'être un objectif L (donc de qualité professionnelle chez Canon) et surtout, de couvrir le plein format des capteurs qui équipent le 5D tout comme le 1DS, ou le film 135, pour ceux qui ont encore un appareil argentique.
17-40, f14, 400e de seconde, , focale: 17, 200 ISO
Eh oui, ce n'est pas une photo prise avec un appareil argentique, mais bien avec le 400D.
La dynamique n'est pas mal, et la cellule s'en sort très bien, compte tenu du soleil en pleine face!
On voit ici que le défaut du 350D de blanchir les ciels n'est pas de mise.
Le problème, c'est que le 17-40 est juste un peu grand pour tenir dans mon fourre-tout (le 18-55 passe très bien), il faut donc prévoir une sacoche petite, mais juste plus grosse, pour que ça passe. Ça tombe bien, j'en ai une (LowerPro aussi, eh oui que voulez-vous, on ne se refait pas…) celle qui me sert à transporter les 14 chargeurs nécessaires à notre départ en vacances. Parce qu'il n'y a pas que les miens hein… Il y a ceux de Mme Cuk, ceux de Basile… Je crois que Juliette n'a pas encore les siens, mais l'année prochaine, faudra voir…
Cela me permet de répondre à une question que l'on me pose souvent: quel est le sac idéal pour ranger son matériel?
Vous comprendrez bien qu'il n'y en a pas. Cela dépend de l'appareil, du matériel, de ce qu'on veut mettre dedans, du temps que l'on va passer dans la journée avec le sac accroché à l'épaule ou au dos, du nombre de jours passés sans rentrer à la base pour changer de matériel, de ce que l'on pense photographier, de nuit ou la journée, donc flash, pas flash, trépied ou monopode, ou rien, et j'en passe…
Personnellement, j'ai cinq types de sacs, et j'ai l'impression de ne jamais avoir celui dont j'aurais vraiment eu besoin pour aller là où je vais, c'est vous dire.
Donc, pour en revenir à ce 17-40, je ne peux que vous le recommander. Je le préfère dix fois au 16-35 f2.8 que j'ai eu pendant presque une année, et qui, c'est mon avis et je le partage, a un piqué tout bonnement déplorable. Faut dire aussi que je l'ai jugé son mon 1D Mark 2 qui m'avait joué bien des tours à l'époque.
Et puis, ce 17-400, s'il n'est pas donné, est tout de même abordable, contrairement à la plupart des objectifs L de la marque.
Alors ce 400D? Sur la durée?
Comme je l'avais écrit lors de sa sortie, il est calé en sous-exposition, ce qui n'est pas grave du tout. Il suffit de corriger d'un tiers d'IL en permanence (ou presque), ce qui se fait en un clin d'œil. À ce propos, il est assez rigolo de lire le test de chasseur d'Images puis droit derrière, celui de Réponses Photo.
Le dernier numéro de CI, excellent au demeurant, présente un match Canon 400D - Nikon D80 - Sony A100 ma fois très bien réalisé, le Nikon et le Canon sortant en tête, le Nikon un tout petit peu plus premier que le Canon ajoutent-ils:-), le Sony étant placé troisième. Ce qui est amusant, c'est que Chasseur d'Images estime lui aussi que le Canon est en sous-exposition permanente, et propose la même correction. Par contre, Réponses Photo, dans son test du 400D, précise que "comme toujours, le Canon surexpose".
Alors là je ne comprends pas. Il ne s'agit pas d'un avis subjectif: mon Canon 400D sous-expose, celui de Chasseur d'Images aussi. Si je montre mes photos non corrigées prises dans des situations difficiles à 10 personnes, pas une ne me dira que le Canon surexpose, toutes trouveront qu'il sous-expose.
Et j'ai de la peine à comprendre: aurait-on des appareils sur le marché qui ont de telles différences? J'ai des doutes. Bref, une preuve de plus qu'il est important de lire plusieurs sources d'information, même au niveau technique, les erreurs étant toujours possibles, chez les autres comme chez nous d'ailleurs.
Sur cette image, le contraste ombre-lumière (que j'aime bien au demeurant) est très fort, puisque j'ai choisi la mesure ponctuelle sur la partie ensoleillée, avec mémorisation de l'exposition. Je peux néanmoins, puisque l'image est en Raw, la corriger, comme montré ci-dessous, dans Bibble par exemple, mais aussi dans DPP, livré avec l'appareil.
Il y a un peu moins de mystère, dommage peut-être. Les détails dans les ombres sont bien là, et les hautes lumières ne sont pas trop brûlées. Le capteur est donc assez dynamique.
En mode matriciel, le plus utilisé sur le Canon 400D, j'obtiens directement ceci, avec une correction d'un tiers d'IL
La matrice fait du bon travail…
Un point sur lequel les deux journaux sont tout à fait d'accord, c'est sur la piètre qualité du viseur Canon.
Trop petit, pas assez lumineux…
Eh bien moi, je ne suis pas d'accord. Pourtant, qu'est-ce que j'apprécie le viseur de mon 5D, un des meilleurs viseurs de reflex numérique, même s'il ne couvre pas le 100 % (il en reste au 95 % assez traditionnels des appareils qui ne sont pas vraiment professionnels). Ce viseur de 5D est large, confortable, magnifique.
Alors si j'en crois les détracteurs spécialistes du viseur du 400D, je devrais souffrir comme une bête avec ce petit Canon.
Que nenni non point! Certes, il n'est pas grand ce viseur, mais il est très clair. Jamais je ne me suis dit "Mon dieu quelle horreur, je n'arrive pas à voir ce que je vise, je ne sais pas si c'est au point ou non". En plus, la lisibilité des indications est tout à fait acceptable. Certes, mais le 400D est loin d'être le seul dans son cas, je regrette l'absence d'indication de la sensibilité ISO tout comme celle de la balance des blancs. Mais je rappelle juste au passage que l'écran arrière signale en permanence ces paramètres, en tout gros, de manière plus claire tu meurs.
Fin de journée, les yeux sont plissés, le soleil juste derrière les nuages, les surfeurs à droite sont en noir, l'ambiance un peu sinistre est bien rendue par l'appareil…
Ce viseur n'est pas le plus beau viseur que l'on peut rencontrer sur le marché, c'est certain, mais faire un tel foin sur sa soi-disant mauvaise qualité me semble presque être un truc à la mode. Vous me permettrez de ne pas hurler avec les loups, de ramer à contre-courant, et d'insister sur le fait qu'il reste tout à fait utilisable, même pour quelqu'un d'un peu pougnet sur le sujet.
Et puis, tout est relatif. Passer du 5D ou d'un Nikon D2X au 400D nous permet de nous rendre compte que nous ne boxons pas dans la même catégorie d'appareils de photo (quoique sur la qualité finale, on peut encore souvent discuter). La construction n'est pas la même (surtout en passant du D2X ou du D200 de Nikon vers le 400D) mais les prix ne sont pas pareils non plus. Dans ce cas on se rend compte du bonheur de viser dans un 5D ou un D2X, ou encore un D200, mais après quelques minutes sur le 400D, on oublie un peu cette différence de confort, et le plaisir de photographier est bien là.
17-40, 60e de seconde, f 7.1, ISO 400, pas de flash, pas de correction d'exposition
Deux remarques: la première, Basile est très content de son viseur optique sur le vieil IXUS 400, comme quoi… et la seconde, c'est que si Basile se fiche de mon crâne un peu dégarni, je peux en faire autant avec ses dents… Malheureusement, cette situation d'un prêté pour un rendu n'est que provisoire…
Cela dit, Canon peut quand il veut augmenter son coefficient d'agrandissement malheureusement resté bloqué sur * 0.8.
Au niveau rapidité, rien à redire, jamais je n'ai dû attendre, le 400D répond au doigt et à l'œil à son propriétaire. L'antipoussière ne s'est jamais manifesté pour me gêner, et l'autofocus est rapide et excellent.
L'usage du pourtant relativement lourd 70-200 f.2.8 stabilisé ( qui devient un 112-320) ne pose strictement aucun problème si l'on prend bien soin de tenir, comme il se doit, la main gauche sous l'objectif.
70-200 mm, 800 ISO, focale: 200 mm, 500e de seconde, f8.
décalage + 1/3 d'IL.
Un père et son fils se sèchent après avoir surfé tout l'après-midi. J'aime bien la complicité entre ces deux-là. Je précise que j'ai retouché dans LightZone 2 sur la photo JPEG (le Raw n'était pas encore reconnu au moment où j'ai joué avec cette image) les deux personnages, leur redonnant un peu de pêche. J'aime bien aussi les nuances de couleur de la mer et de la plage, en haut à droite.
70-200 mm, 800 ISO, focale: 200 mm, 500e de seconde, f5.
décalage + 1/3 d'IL.
Je précise que je n'ai pas encore de poussière sur mon capteur, ce qui est une bonne nouvelle au niveau de l'efficacité du système triple de Canon (voir test), même si je n'utilise pas la cartographie de DPP, préférant pour l'instant travailler avec Bibble pour développer mes RAW.
Niveau ergonomie enfin, je suis parti sans mon mode d'emploi, ce qui est pour moi souvent une catastrophe, parce que je ne sais souvent plus comment remettre à zéro la fonction x qui s'est manifestée dans mon viseur. Sur cet appareil, tout est logique, ou pour être plus précis, répond à ma logique, et je n'ai jamais eu envie de plonger dans le manuel pour savoir comment modifier tel ou tel réglage.
J'ajouterai aussi que ces petits flashs internes sont tout de même bien pratiques, lorsqu'il s'agit de déboucher des ombres. Ils évitent de devoir se trimballer avec le cobra, lourd et peu pratique.
17-40, f5.6, 60e de seconde ISO 400, flash forcé
Malgré ses efforts, Juliette n'arrive pas à faire du beurre en secouant le lait.
Faut dire qu'il est écrémé…
Niveau lumière, pour dire que je n'ai utilisé ici que le flash interne, il ne s'en sort pas trop mal le 400D non?
Ici, col de la Croix-Haute, une étape au retour.
Flash interne, f8, 200e de seconde, ISO 200
Cette photo est prise avec le soi-disant épouvantable 18-55 mm.
Tellement épouvantable?
En ce qui concerne notre dernier jour sur place, il a tellement plu que je n'ai pas osé sortir mon appareil. Le 400D, comme la plupart des appareils de sa catégorie (futur K10 de Pentax mis à part même s'il est un tout petit peu plus cher) n'est pas tropicalisé, et ne supporte pas la pluie. Pas plus que mon 5D. Cela dit, vu le temps, je n'aurais pas sorti mon Nikon D2X ou mon D200 à l'époque.
Mais bon, comme je viens de l'écrire, Pentax nous a prouvé que la tropicalisation n'était pas hors de prix. Messieurs les fabricants, j'ose espérer que cela va vous titiller pour que vous nous proposiez des joints sur vos futurs appareils. Le prochain 5D par exemple, Cher Monsieur Canon, tu nous le fais qui supporte les embruns, d'accord?
Alors voilà. C'était juste pour vous dire que cet appareil m'a bien plu. J'aurais certainement eu tout autant de plaisir avec un Nikon D80, ou un appareil d'une autre marque, mais c'est celui que je peux prendre avec moi à long terme, que voulez-vous. C'est donc pour cela que je vous en parle. À vous de faire le tour des autres sites avec des gars qui disposent d'un Nikon, d'un Sony, d'un Pentax ou d'un Olympus. Cela ne m'empêchera pas d'ailleurs de continuer à prendre en main ces appareils, et à vous faire savoir ce que j'en pense, mais cela aura moins de valeur (si tant est que mes articles puissent en avoir) puisque je n'aurai touché ces objets que quelques heures, un ou deux jours au plus.
Sur ce, je nous souhaite à tous une bonne reprise, si tant est que vous ayez eu des vacances.
, le 23.10.2006 à 02:12
Ah! Fabregas! J’y ai de bon souvenirs aussi… Tu sais le camping de l’ANAS juste au dessus de la plage.
Enfin tout ça pour dire que Sigma sort (a annoncé – voir dpreview) une nouvelle version avec stabilisateur optique de son 18-200. Certe ça reste un objectif d’entrée de gamme, mais c’est vraiment l’objectif à trimbaler partout. Et comme le 18-55 Canon, il est pas si pourri que ce que l’on peut lire par-ci par-là.
A propos des bridges, j’en ai un qui sort vraiment du lot. Le Sony R1. J’en suis vraiment content. Certe il a viseur électronique et un buffer ridicule (heu non, scandaleux) mais il shoote en RAW, il a une optique Zeiss de bonne qualité (eq 24-120 F2.8 à F16 aie) un CMOS APS-C 10mp et un ecran sur le dessus qui permet des angles de vue surprenants sans se mettre dans des positions ridicules et inconfortables. Je ne veux pas faire l’article de l’appareil, ni lancer le débat mais je pense qu’il a sa place ailleurs que chez les fanfarons qui veulent juste un gros engin pour épater la galerie.
, le 23.10.2006 à 02:37
Pour ce qui est du tansport du matériel, je suis, pour ma part, un fervent adepte du sac à dos basic pas photo (en ce moment, un tati, fragile, mais pour le prix…), dans lequel je glisse un de mes nombreux gilets, bien farci (pelloches vierges à gauche, récupérateur d’amorce, chiffonette microfibre, stylo, feutre indélébile toutes surfaces, MagLite entourée de quelques tours de gaffeur noir, ça peu toujours servir, à droite dans différentes poches, les objectifs du jour répartis harmonieusement dans les plus grandes poches à droite et à gauche), posé au fond du sac, le flash (si besoin) et le (ou les) boîtiers posés dessus. Dans la poche frontale du sac, réserve d’énergie et toujours quelques pelloches supplémentaires, on ne sait jamais (message à l’attention des personnes ne sachant pas ce que veut dire “pelloche”: petit cylindre de métal (ou enrobé de papier) contenant un support souple en plastique enduit de diverses couches de matériaux plus ou moins sensibles à la lumière, en général appelé “film”, lequel nécessitera, après exposition, d’aller faire trempette dans divers produits toxiques et polluants pendant des durées précises et à des températures très précises, avant de devoir être sêché à l’abri de la poussière pour au final permettre de voir quelques images, visualisables sans aucun appareil électronique, 100% compatibles avec Oeil 1.0, ne nécessitant pas un nouvel archivage tous les trois mois par incompatibilité logigielle, matérielle ou dégradation du support). C’est certain, le gilet, c’est un look que certains ont du mal à assumer, voire trouvent grotesque, moi, je m’en fout du look, c’est l’efficacité qui prime: dans la fosse, pendant un concert, combien de photographes dont le sac en bandoulière chargé à craquer et bien volumineux se coince entre deux personnes après leur passage, avec mon gilet, je me faufile sans trop de soucis… En vadrouille dans la nature, pas obligé de poser mon sac dans la bouse bien fraîche pour sortir le 105 macro, il est là, sous la main… Et puis le look “Rambo” peut ouvrir les portes: jamais je n’aurais pu faire de photos de la “corbeille” de la bourse de Tokio sans rendez-vous ni acréditation si je n’avais pas porté mon magnifique gilet rouge “Ferrari”…
François, magnifique le rendu des tons chair, mais je suis beaucoup moins convaincu par la couleur de la serviette du surfeur (voire pire, “l’anneau de pied”, je ne sais pas comment ça s’appelle, au bout de sa longe) ou le blouson de Basile au col de la Croix-Haute, c’est mon écran, ou bien…
z (qui va aller se coucher, là)
, le 23.10.2006 à 05:54
Non non zitouna, c’est ta version Oeil 1.0 qui date un peu:-)
Sérieusement, sur Basile, il y a un petit côté surréaliste donné par le couleur dingue du fond, et le flash qui donne un coup de boost un peu artificiel j’en conviens aux couleurs (quoique le blouson de Basile est bien comme ça) mais j’adore ça.
Pour les surfeurs, l’appareil n’est pour pas grand-chose au niveau des couleurs des personnages puisque j’ai un peu envoyé de la gomme un calque Saturation, un calque Contraste, un calque Flou sur le paysage, un calque luminosité (par zones), bref, j’ai essayé de les faire ressortir.
Et encore, là je me suis calmé, parce que j’avais fait un truc où t’avais finalement l’impression que les deux surfeurs étaient collés sur le fond, venus d’on ne sait où. Bon. Je vais te montrer l’image originale, la voici:
Voici ce que j’avais obtenu dans un premier temps après avoir rajouté tous les calques.
C’est un peu le danger avec ces programmes. Faut faire gaffe de ne pas trop en rajouter. Ou alors regarder sa photo quelques heures après avoir fait tout autre chose, et puis baisser l’opacité des calques pour revenir à qqch de plus naturel.
, le 23.10.2006 à 07:33
et en plus il y a un site suisse qui donne aperture à l’achat du 400d, j’ai oublié son nom….
PAS SUR LA TETE, JE SORS.
Plus sérieusement, une étude sur le terrain comme je les aime qui donne envie d’un changement de boitier, par contre les sacs font partie de mes petits problèmes techniques depuis vraiment trop longtemps, sac à dos, self-service pour les mains indélicates dans la foule et puis la marque du contenant visible de loin, sac bandoulière, même combat, et après usage, vous donnez l’impression d’une malformation physique ent ayant l’épaule gauche plus haute que la droite, veste plus pratique, mais après quelques heures de prise de vues, il faut un plan pour retrouver ses enfants et enfin le Système-d ne fonctionnant pas à chaque fois, j’explique, nos compagnes ont toujours un énorme sac allez savoir pourquoi, avant la promenade, glissez y les choses encombrantes et partez l’esprit tranquille, seul défaut du système, l’engueulade au moment ou vous demandez le bidule à madame…
, le 23.10.2006 à 08:34
Et bien François, il ne te reste plus qu’à apprendre la météo : pendant que tu dégustais la pluie à Toulon, j’avais le grand soleil à Cannes ! Il faut savoir que le temps “tourne” toujours au niveau de Saint-Raphaël, tous les marins savent ça (j’y étais avec mon bateau, mais sans appareil photo). Joli reportage cependant.
, le 23.10.2006 à 09:27
Quoi?!!, Y z’ont sorti une nouvelle version??!!! La 1.0.1 est dispo? j’espère que la mise à jour est gratuite, pasque la version 1 était un poil buggée en fait, puis ça fait des années que je l’attends! A quand le test sur Cuk? ;o)
z (heuu, François, si tu veux un fond flou, avec le 70-200, tu n’as qu’a ouvrir à 2,8… Aïïïeuu, non, pas les zoreilles ;-)
, le 23.10.2006 à 10:24
Eh oui! A f2.8, c’était bon, mais je n’étais pas à f2.8!:-)
Donc LZ est super pour ça…
, le 23.10.2006 à 10:40
Perso, je continue de dire que ce petit 18-55 est très bien. La seule chose que je reproche (et encore, parce qu’à ce prix là on ne peut pas trop gueuler), c’est l’ouverture.
Vu que je fais souvent des photos en soirée… je suis en train d’évaluer un zoom équivalent (dans les 18-55) mais à 2.8.
T
, le 23.10.2006 à 10:49
un peu déçu de mon nikon d70s, ce petit test me fait dire que je dévrais faire un petit tour chez photograncy…
merci françois!
, le 23.10.2006 à 17:15
pour François,sigma possède dans sa gamme d’objectif un 17-70 2,8-4,5 dc macro, un peu plus “long” et plus utile en focales que le 17-55 canon, 345 euros, +- 547 fs, un test possible. Ils ont aussi un 18-50 2,8 constant 60 euros plus cher.
, le 23.10.2006 à 21:58
Bonsoir à tous, j’aimerais faire un petit commentaire sur ta remarque François concernant le fait que le 350D brûle les cieux, c’est vrai et cela est pénalisant car même à -1/3 IL il a cette facheuse tendance. Par contre je pense qu’une maj du firmware pourrait résoudre le problème si Canon se bougait un peu. Ce qui me met du baume au coeur est une photo test d’un 5D avec un 28-70 f/2.8 L prise par un pro ici : http://macandphoto.typepad.com/macandphoto/files/_MG_9661_test.JPG
Alors, avec un super matos on peux aussi cramer les cieux donc si vous avez un solution astucieuse pour éviter cela je pense que beaucoup de vos lecteurs seraient prenneurs. Apparement le chasseur d’image préconise la mémo de l’expo sans jamais décrire la manip de A à Z, je sais me servir de cette touche mais mémoriser sur quoi le ciel, la terre cela ne donne que de la surex ou sousex dans ce cas. Ciao
, le 25.10.2006 à 18:35
Je suis l’heureux propriétaire depuis peu d’une EOS 400D et d’un sigma 17-70 F2,8-4,5. Ce couple remplace mon 300D +18-55. Et c’est vraiment un gros pas en avant, tant au niveau du boitier que de l’objectif. Je conseil vraiment ce sigma 17-70 pour qui veut plus que le 18-55 de base sans avoir les moyens d’un 17-40 ou 17-55 Canon. Le rapport qualité prix est à mon sens imbattable.