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Comprendre l’image numérique: vectorielle et bitmap, les modes de couleur, le scanner et les résolutions

Avant de démarrer, il est important de bien comprendre les deux familles de type d'images:
Le BITMAP et le VECTORIEL
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Les images ou photos BITMAP (Logiciels les plus connus sur Mac: Photoshop, GraphicConverter, Painter, etc...)
Bitmap (= pixels): Pour une taille de dessin et une résolution données, l'image pèsera toujours le même poids (occupation sur votre disque dur) quelle que soit sa complexité. En revanche, son impression ne sera bonne qu'à la résolution pour laquelle elle a été créée. Impossible donc de la redimensionner si elle se révèle trop petite...
Les formats d'enregistrement bitmap les plus couramment utilisés (standards) pour l'impression ou le placement dans les softs sont : .PSD .TIF .JPG .PCT .BMP .GIF . EPS (bitmap), etc...

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Les images ou dessins VECTORIELS (Logiciels les plus connus sur Mac: Illustrator, Freehand, Corel Draw, etc...)
Vectoriel (= tracés): Pour une taille de dessin donnée, l'image verra son poids varier en fonction de la complexité du dessin. En revanche, sa taille et sa résolution sont totalement indépendantes; vous pourrez donc agrandir ou réduire les objets (dessins, textes, etc...) à volonté, et ceci sans perte!
Avec un logiciel vectoriel, vous définissez des objets mathématiques qui représentent une courbe, un rectangle, etc... Chacun de ces objets ne pèse pas lourd, mais leur nombre fait vite grimper le poids du fichier. On fera donc attention à épurer (simplifier) les tracés. Les dégradés, les textes, etc, ... : tout est codé de manière mathématique... C'est la courbe de Bézier. Cette courbe est définie par quatre éléments: deux points d'ancrage et deux lignes directrices terminées par des points directeurs.
Le format d'enregistrement le plus utilisé pour l'impression ou le placement dans un soft de PAO est: .EPS (vectoriel).

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.EPS, vectoriel ou bitmap ?

On distinguera que le format .EPS existe dans les deux types de formats bitmap et vectoriel. Le format EPS (Encapsulated PostScript ou «PostScript Encapsulé» en français) a justement été conçu pour disposer d'un «contenant» susceptible d'héberger photos et illustrations, qu'elles soient d'origine bitmap ou vectorielle. C'est un format passe-partout, à condition que son code PostScript soit «propre», c'est-à-dire qu'il soit généré par un programme qui gère le langage PostScript correctement, par exemple: Photoshop pour le bitmap, et Illustrator pour le vectoriel.
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Passer d'une image vectorielle à une image bitmap: il n'y a aucun problème pour transformer une image vectorielle en une image bitmap. Il suffit: soit de l'exporter en un fichier de type bitmap (.TIF .JPG. .PSD, etc..) depuis l'application vectorielle, soit d'ouvrir et d'éditer l'original vectoriel .AI ou .EPS dans n'importe quel soft bitmap (Photoshop, etc...) à la résolution désirée.

Ci-contre: ouverture d'une image .EPS vectorielle dans Photoshop = "pixelliser" le format EPS générique

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La vectorisation (Logiciels les plus connus sur Mac: Streamline, ArtLine, CorelTrace)
La manipulation inverse (passer d'une image bitmap à vectorielle) est en revanche difficile, car il faut passer au travers d'un logiciel spécifique de vectorisation qui va convertir les zones bitmap en tracés vectoriels de façon automatique et paramétrable, en fonction de vos réglages et de vos besoins spécifiques. La qualité peut être excellente, mais les réglages optimaux sont assez compliqués à trouver.

Ci-contre: vectorisation d'une image .TIF bitmap dans le "vectorisateur" Streamline = "convertir" en tracés

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La vectorisation de textes dans les logiciels comme: Illustratror, InDesign et CorelDraw

Ci-contre: vectorisation de textes dans Ilustrator ou InDesign =
menu: Texte-> Vectoriser, (avoir selectionné le texte au préalable)

Ne pas confondre avec la vectorisation d'objets bitmap (cf paragraphe ci-dessus). Cette méthode transforme le texte en mode dessin, en courbes vectorielles; elle permet surtout de transmettre des fichiers à des prestataires sans leur donner les polices. Autre fonction: elle permet l'application de divers effets irréalisables en mode texte ! (nb: les polices sont de base dessinées en tracés vectoriels).


MODES BITMAP (trait 1 bit) et NIVEAUX DE GRIS
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BITMAP, TRAIT ou 1 bit noir et blanc

Ci-contre: les divers langage des pilotes de scanner lors de l'acquisition pour le mode bitmap = Trait ou 1 bit noir et blanc

Exemples d'originaux-images types: 1) dessins 2) plans ou cartes 3) gravures 4) textes ou logos

Ce format est bien plus utilisé qu'on ne l'imagine. En effet, bon nombre de personnes, parce qu'ils l'ignorent, utilisent le mode niveau de gris à sa place. C'est possible, mais déconseillé pour ce type d'images. Désavantages principaux: Les images pèseront jusqu'à 8 fois plus lourd et l'impression sera de qualité moindre (contours des traits tramés).
Le paramètre le plus important de ce mode est le SEUIL: il permet d'atténuer ou de renforcer les détails et certaines teintes, surtout si l'original ou le scan est coloré.

Ci-contre: le réglage du SEUIL =
1) au scanner lors de l'acquisition
2) dans Photoshop, menu "Image-> Réglages->Seuil..."

Résolution des images au trait 1 bit: Que l'image ou le scan obtenu soit destiné à la vectorisation (Streamline, ArtLine, etc...) ou à l'intégration directe dans votre logiciel, pour la production offset, on numérisera les images au trait entre 1200 et 1800 DPI pour une taille à 100% en cm, ceci afin d'éviter l'effet d'escalier et la perte de détails. Pour une utilisation courante sur des imprimantes de type numériques ou bureautiques, une résolution à 600 DPI pour une taille à 100% est suffisante.
Pour les retouches (rotation, lasso, etc...): Elles sont irréalisables en mode «Bitmap»; on choisira dans le mode «Niveaux de gris - rapport 1». Une fois celles-ci terminées, on reviendra au mode «Bitmap - seuil 50%» (attention, suivant la taille de l'image, il faut de la RAM en réserve!).
Format d'enregistrement: Après retouches dans le soft, on enregistrera en général les images "au trait" au format .TIF (en compression LZW si le logiciel de destination l'accepte) pour un gain de place au stockage.
Colorisation: Les logiciels "pros" permettent d'attribuer une teinte aux images "au trait" importées dans ceux-ci (Pantone ou autre).
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NIVEAUX DE GRIS

Exemples d'originaux-images types: 1) photographiques 2) dessins ou reproductions 3) graphiques 4) logos scannés ou bitmap (nb: normalement les graphiques et logos professionnels sont créés dans Illustratror en vectoriel .AI ou .EPS)

Résolutions lors du scannage ou du "taillage" dans le soft photo (Photoshop ou autre): Pour la PAO-offset ou le stockage à fin d'utilisation future (original natif.PSD), on numérisera ou "taillera" les images à 300 DPI pour une taille à 100% en cm. Si la destination finale est réellement l'impression numérique ou jet d'encre, on numérisera les images à minimum 150 DPI jusqu'à 200 DPI au maximum pour une taille à 100%.
Formats d'enregistrement: Après retouches dans Photoshop, on enregistrera les images au format .PSD si le stockage et les retouches sont ultérieures (conservation des calques, etc...) ou en .TIF .JPG .PCT ou .BMP si la finalité est l'impression.
Colorisation: Les logiciels "pros" permettent d'attribuer une teinte aux images "au trait" importées dans ceux-ci (Pantone ou autre).


MODES DE COULEURS RVB et CMJN: Ce sont les modes les plus employés. (Les modes "Bichromie" et "Couleurs indexées" ne seront pas abordés dans cet article)
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LA COULEUR
La couleur dans son ensemble est un sujet vaste et très complexe, un véritable casse-tête souvent insurmontable par les non-professionnels. Tellement de paramètres entrent en considération: perception de l'oeil humain, synthèse additive RVB (écran) et synthèse soustractive CMJN (imprimantes PostScript et offset), calibrages des outils informatiques de la "chaîne graphique" (écran, logiciels, scanner, imprimantes), qu'il est très difficile d'être précis.
Je ne m'étendrai donc pas sur le sujet, mais sachez qu'au minimum, un écran bien calibré vous évitera de mauvaises surprises (Adobe Gamma sur PC - ou ColorSync sur Mac). Un "bon coup" de réglages dans tous vos logiciels s'impose également (voir les paramètres dans le menu "Couleurs..." / selon la destination de l'image: PréPresse - Web - etc..).
Pour des réglages plus pointus, il faudra vous orienter vers des solutions de management colorimétriques comme le système Eye-One Color de GretagMacbeth ou d'autres fabricants...
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TYPES D'IMAGES RVB ou CMJN
Exemples d'originaux-images types: 1) photographiques 2) reproductions d'art ou dessins 3) graphiques 4) logos scannés ou bitmap (nb: normalement les graphiques et logos professionnels sont créés dans Illustratror en vectoriel .AI ou .EPS)

Résolutions lors du scannage ou du "taillage" dans le soft photo (Photoshop ou autre): Pour la PAO-offset ou le stockage à fin d'utilisation future (original natif.PSD), on numérisera ou "taillera" les images à 300 DPI pour une taille à 100% en cm. Si la destination finale est réellement l'impression numérique pro (CMJN) ou jet d'encre (RVB), on "taillera" les images à minimum 150 DPI jusqu'à 200 DPI au maximum pour une taille à 100%. Pour l'envoi d'image au laboratoire photo (en RVB au format .JPG), une résolution de 200 à 220 DPI est suffisante (toujours pour la taille réelle du papier en cm.).
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Le mode RVB (en anglais RGB)

Ce mode est ainsi dénommé car il utilise trois couleurs primaires : Rouge, Vert et Bleu, dont la superposition donne le blanc (d'où le nom de synthèse additive); on pourrait aussi l'appeler "le mode de couleur lumière". C'est le principe utilisé par les moniteurs d'ordinateurs, les écrans de  télévision ainsi que pour les tirages labo sur papier photo.
C'est le mode basique de numérisation de tous les scanners. On l'utilisera en règle générale, car c'est le mode qui permet l'emploi de tous filtres et toutes opérations de «retouches» dans Photoshop.
Si la destination est l'impression jet d'encre ou une imprimante non PostScript, on enregistrera l'image telle quelle (ou une copie "retaillée") en .TIF .JPG .PCT ou .BMP pour l'imprimer.
Ce mode est le standard: Il est recommandé pour tous les utilisateurs "normaux" qui désirent imprimer sur des imprimantes à jet d'encre (du supermarché de "Chez-pas-cher" = non-PostScript), pour la production d'images sur le Web (.JPG) ainsi que pour les photographes qui travaillent généralement aussi en "tout RVB".
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Le mode CMJN (en anglais CMYK)

Ce mode est surtout utilisé pour l'impression offset et les imprimantes numériques PostScript; on pourrait aussi l'appeler "le mode de couleur papier". Le principe consiste, à partir d'une  surface blanche, à "soustraire" de  la lumière en utilisant trois couleurs  primaires : cyan, magenta et jaune. C'est la synthèse soustractive, par opposition à  la synthèse "additive".
C'est le mode d'impression pour toute impression quadrichromique (Cyan - Magenta - Jaune - Noir = encres offset ou toners numériques). Les imprimeurs et photolithographes numérisent en général directement les images en CMJN pour une intégration destinée à la séparation quadri. Ce mode n'est pas disponible sur tous les scanners ; c'est pourquoi, une fois vos travaux de retouches terminés en RVB (n'oublier pas de conserver le fichier original RVB avec ses calques enregistré en .PSD afin de pouvoir encore intervenir si besoin!), il faudra changer de mode et «aplatir l'image» avant l'enregistrement final (standard .EPS ou .TIF).
Ce mode est surtout réservé aux gens des professions du PréPresse: photolithographes, polygraphes, graphistes et publicitaires (et tous les autres amateurs éclairés).


Quelques liens ou ressources
1. Le guide de la couleur et de l'image imprimée. Site d'Emmanuel Florio, un must reconnu créé par un type épatant et super sympa (il m'a dépanné via mail à deux reprises).
2. Un site de référence francophone sur le sujet de Jean-Noël et Nathalie Lafargue (un peu long à charger, dommage).
3. Site généraliste et pédagogique sur l'image numérique du CRDP deGrenoble.
4. Site d'introduction à l'image numérique de Jean Marie Gachon et Pierre Juillot.
5. Qu'est-ce qu'une image imprimée ? Un site de C. Boudry de l'URFIST de Paris.
6. L'image numérique présenté par Tony Calvaire, Olivier Maury et Jean Pasdeloup.
7. Le site Adobe Studio Ressources destinées à l'impression, l'imagerie, le Web et la vidéo numériques. Sur le meme site, voir aussi les trucs zé astuces
8. La couleur en informatique vu par Xavier Gillo du FUNDP - Belgique.
9. Autre site sur la couleur de Christine Vercken.
10. Ruses.com un site de ressources pour les professionnels.

Documentation, livres
1. Le guide de la couleur et de l'image imprimée, la version imprimée du même Emmanuel Florio. Mes respects !
2. Chez les éditeurs Perrousseaux et Eyrolles quelques livres dignes d'intérêts.
3. La série "ClassRoom in a Book" (en anglais), livres de formation pour les logiciels d'Adobe à un prix très correct. La plupart existent aussi en français, demandez à votre libraire.
4. Voir aussi sur le site d'Adobe Press (en anglais) pour d'autres publications.


Fin de première partie. Suite au prochaine épisode, où seront abordés: le scanner et l'acquisition d'images, les résolutions "standard" adaptées à l'impression (DPI) et les trames pour l'offset ou les imprimantes laser (LPI).

Pour vous donner un petit avant-goût de la suite, je vous ai préparé "avec amour" ce fichier .PDF que vous pouvez pouvez télécharger (Merci Blues!). C'est un tableau explicatif des résolutions et formats d'enregistrements adaptés pour l'intégration des images dans vos documents-fichiers suivant le type d'impression.

A bientôt. BLUES

39 commentaires
1)
jean-Christophe Courte
, le 06.04.2004 à 07:17

Merci pour ce rappel illustré, simple et efficace :-) L'essentiel est dit.

2)
Carla
, le 06.04.2004 à 08:28

Blues, tu es un pro et cela se voit et se lit, merci
Carla

3)
Franck
, le 06.04.2004 à 08:30

J'ai quelques questions, stupide sans doute puisque je suis ignare en la matière : qu'en est-il du format pdf ? Quel est sa spécificité et dans quelle catégorie se range-t-il ? Vectoriel, je suppose ?
Franck

4)
Théo
, le 06.04.2004 à 08:38

Bonne idée cette liste de liens!

Cuk, tu devrais généraliser cela dans tes tests à l'avenir (si possible)

Blues, je me réjouis de découvrir le prochaine épisode!

5)
Roger Baudet
, le 06.04.2004 à 08:41

Professeur Blues, superbe article !

Mais question : Sur Photoshop, le TIF peut aussi conserver les
calques me semble t'il. Quelle est la différence réelle entre le format TIF et le Format PSD ?

Et même question que le voisin du dessus : Comment situer
le PDF dans tout ça ?

6)
BLUES
, le 06.04.2004 à 08:48

"qu'en est-il du format pdf ? Quel est sa spécificité et dans quelle catégorie se range-t-il ? Vectoriel, je suppose ?"

Ben non Frank .. les deux… les deux … et meme souvent un "doux" mélange des deux …. PDF = Idem que pour l'EPS, lit bien le paragraphe ".EPS, vectoriel ou bitmap ?"

Exemple
Avec des logiciels comme InDesign ou Illustrator, tu fais une mise page mélangée avec des images photos (bitmap) des textes et des dessins (vectoriels) … Tu exportes le tout en PDF, tu auras bien PDF mélangé avec les deux types de formats. Contrôlable avec Illustrator en ré-ouvrant le PDF … c'est bien du bitmap "et" des tracés vecoriels que tu auras à l'intérieur.
Par exemple, le pdf que j'offre au téléchargement au bas de la page est un mélange des 2 types (textes = vecto – images = bitmap)

Autre exemple
Avec Photoshop tu crées un joli petit flyer (sans sortir du logiciel), tu décides le mettre en ligne prêt au download =
Enregistrer en "Photoshop.PDF" … là, tu auras bien un .PDF 100% Bitmap … aucun vecteur-tracé à l'intérieur !

En gros c'est comme ca … (car il y des exeptions — par ex. depuis Photoshop 6, on peut produire des vecteurs)

BLUES

7)
BLUES
, le 06.04.2004 à 08:57

"Sur Photoshop, le TIF peut aussi conserver les
calques me semble t'il. Quelle est la différence réelle entre le format TIF et le Format PSD"

Le .Tif en effet depuis la version 6 ou 7 conserve les calques … je ne suis pas sur du "pourquoi?", car je travaille "à l'ancienne" (tout ce qui est calques etc.. je l'enregistre en natif.PSD), mais je pense que c'est juste pour offrir UN PLUS qui pour moi me perturbe = c'est quoi déjà ce .TIF ? un écrasé ou un montage original ? ……. un PSD je sais directement que C'EST MON ORIGINAL … et voilà

Je pense que Jean-Christophe Courte est plus apte à répondre à la question .. pourquoi la conservation des calques-.etc.. en tif et surtout .. quels sont les avantages du format ?

Pour le PDF je répète: il faut le voir comme l'EPS, bien relire le paragraphe ".EPS, vectoriel ou bitmap ?"
BLUES

8)
GerFaut
, le 06.04.2004 à 09:06

Merci Blues. J'ai conseillé cet article à quelques personnes en formation et qui vont bientôt aborder ces problèmes.
^. .^ GerFaut
=U= http://gerfaut.com
GerFaut c'est frais, mais c'est pas grave.

9)
jean-Christophe Courte
, le 06.04.2004 à 09:32

Aie :-)
Je suis comme toi Roland, je suis resté très .psd et n'ai jamais essayé de jouer avec les calques du .tif… Pourquoi ?
Simplement parce que nous pouvons conserver des états de transformation d'un fichier en .psd SANS changer l'image source !
Un des calques est l'image de base et ensuite les autres calques peuvent supporter d'autres images mais surtout l'information d'un déplacement de chromie et/ou un filtrage SANS casser cette (ou ces) image(s) source(s) dans l'esprit de feu "LivePicture"…
Avantage ? Cela permet de corriger à tout moment en partant de la source. Et avec la version CS c'est encore plus délirant.

Roland, tu aurais pu évoquer également le format .png qui, sous FireWorks, permet de conserver des informations vectorielles et même le découpage des blocs de la page .html

10)
BLUES
, le 06.04.2004 à 09:42

"tu aurais pu évoquer également le format .png qui, sous FireWorks, permet de conserver des informations vectorielles"

— OUPS, je ne le savais pas !!! (un peu comme le .WMF ?)

Bon moi le .PNG, je m'en éloigne le plus possible (comme s'il n'existais pas) parce que pour les pages HTML, il n'est pas reconnu par les vieux browser ! Donc je reste un traditionnel "only .JPG et .GIF" pour le Web.
J'ai aussi voulu volontairement cet article généraliste… orienté papier et impression seulement !
BLUES

11)
BLUES
, le 06.04.2004 à 10:16

"Bonne idée cette liste de liens! Cuk, tu devrais généraliser cela" …
Oui c'est bien .. mais quel temps de fou ca prend de les chercher, de les trouver, de lire un minimum et finalement de comparer les sites entre eux pour en tirer les essentiels !
Bien sur, j'en avais quelques'uns en stock, pour le reste ca m'a pris en tout cas 2 heures … Pour votre plaisir (et le mien), pour que vous soyez BIEN renseignés ! Blues

12)
Caplan
, le 06.04.2004 à 10:35

Merci BLUES, pour ce magnifique article!

Ces informations sont très précieuses et je me réjouis beaucoup du prochain article sur l'acquisition d'images.

Maintenant, pour moi, le plus gros reste à faire: COMPRENDRE et surtout MEMORISER tout ça une bonne fois pour toutes!…

13)
Obi1
, le 06.04.2004 à 11:22

Merci pour cet excellent article.
Que signifie l'expression "600 DPI pour une taille à 100%"? 600 DPI, je comprends, mais pourquoi à 100% ?

14)
Fabien Conus
, le 06.04.2004 à 11:43

Obi1, je pense que ce que Blues veut dire c'est que si l'image imprimée aura la même taille que l'image scannée (100%) alors 600 dpi suffiront. Maintenant si tu désires faire un agrandissement d'un détail de l'image originale (par exemple un zoom 2x sur un détail) tu devras scanner à 1200 DPI, par exemple.

C'est bien ça, Blues ?

15)
BLUES
, le 06.04.2004 à 12:06

"Que signifie l'expression "600 DPI pour une taille à 100%"? 600 DPI, je comprends, mais pourquoi à 100% ?"

Précisions
– mon article est orienté "papier" et impression
– la taille à 100 % = la taille REELLE et finale EN CM qu'aura l'image POSEE dans le logiciel (Indesign-XPress-PageMaker-AI) qui l'imprimera
– 600 DPI = la résolution en DPI de l'image AU TRAIT destinée à être printée sur une imprimante laser numérique

Exemple
– pour une image au trait. "trou largeur" à dispostion dans la mise page finale = 10 cm
– pour re-tailler dans PhotoShop dans "Taille de l'image"…. l'image devra donc faire: largeur 10 cm, résolution DPI (pixel p. pouce) 600

Est-ce OK ainsi .. comprendo ???
Bon tout ca … un peu mieux expliqué dans la deuxième partie à venir … patience !
BLUES

16)
Roger Baudet
, le 06.04.2004 à 13:34

BLUES : " …Bon moi le .PNG, je m'en éloigne le plus possible …"

Parfois on ne peut pas, puisque FinalCut n'utilise que le format PNG pour sauvegarder un images fixe d'une séquence.

Merci de signaler qu'il n'est pas lisible partout car je ne le savais pas.

17)
jean-Christophe Courte
, le 06.04.2004 à 19:31

le .png est un format qui n'a pas rencontré grand succès… Il ne s'agit pas de l'utiliser sur le net mais simplement de se souvenir qu'il conserve nombre d'informations sous FireWorks…
C'est (un peu) le .psd de Macromedia…:-) Même s'il me semble que c'est Adobe qui l'a, en partie, développé…

18)
Franck
, le 06.04.2004 à 20:21

J.C Courte : "le .png est un format qui n'a pas rencontré grand succès"

Pourtant…

Les LaTeXfans ici savent peut-être que pdfLaTeX ne permet pas d'incorporer directement les documents .tiff, il faut les convertir en .png au préalable (via l'application Image Magic). Cela se fait en une ligne d'instruction dans le document source, voyez la doc de TeXShop.

Cela veut-il dire que le format .tiff est appelé à disparaître ?
Franck

19)
BLUES
, le 06.04.2004 à 22:07

Bon, je me suis documenté .. voici un petit historique du PNG qui est un format libre de droits (encore du gratuit .. hum ! ca va faire des mécontents !)

LE FORMAT PNG :
– PNG (prononce "Ping") signifie Portable Network Graphics
– Compression 10 a 30% mieux que le GIF, derivee du LZ77 (base du LZW)
– Fonction alpha channel qui apporte les nuances a la transparence et permet ainsi un anti-aliasing quelque soit le fond, affichage progressif
– Gamma correction pour ameliorer le rendu quelque soit la machine
– Compression non destructive, 16 millions de couleurs, transparence, le format PNG est une excellente base de travail, il remplace TIFF
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Le créateur du format PNG d'origine est Glenn Randers-Pehrson.
Le format PNG a été créé en octobre 1996 pour proposer une solution de remplacement libre de droits au format GIF. Le PNG a été doté de fonctionnalités inexistantes sur le Gif, telles que la possibilité de rendre des images partiellement transparente. Mais il n'a pas connu le même succès que son concurrent payant, notamment parce qu'il est supporté de façon aléatoire par le navigateur Internet Explorer de Microsoft, équipant la plupart des ordinateurs.
Le format PNG a perdu en partie sa raison d'être originale lorsque le brevet LZW est arrivé à expirationen juin dernier (2003)

Le PNG a bénéficié d'un bon taux d'adoption. Pour preuve, statistique des 3 formats : 3.050.000 d'images Jpeg, 2.970.000 Gif, et 994.000 portant l'extension PNG.
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Pour moi, pour le web "use", j'aime bien que mes sites tournent encore sur Netscape 4.5 et d'autres anciens … Donc pas de PNG …

BLUES

20)
VRic
, le 08.04.2004 à 19:23

Le PNG est le meilleur format bitmap non destructif actuel. La liste de ses caractéristiques ne suffit pas à éclairer un amateur sur sa supériorité, pour ça il faut le comparer aux autres.

Il est d'ailleurs trompeur de dire que l'extinction de la menace légale sur le GIF réduise l'intérêt du PNG: elle n'a jamais été sérieuse et peut au contraire être considérée comme l'impulsion qui aura permis l'apparition d'un MEILLEUR format, accessoirement libre.

AOL n'allait pas réclamer de l'argent à la quasi totalité des auteurs et hébergeurs de pages web. Même si ses avocats l'ont envisagé dans leurs rêves les plus moites, il est évident que cela aurait eu pour seule conséquence de faire connaître la campagne de conversion des GIF en PNG et les outils automatiques disponibles pour ça (PNG pour les images fixes qui sont les plus nombreuses, mais il y avait aussi bien mieux que gif animé pour le reste).

Donc, à part les fondamentalistes du logiciel libre, c'est surtout pour ses qualités qu'on choisit le PNG:

– plus compact que GIF (dont je rappelle que c'est le seul intérêt)

– non limité à 256 couleurs contrairement au GIF (ce qui devrait d'ailleurs rendre le GIF "peu adapté au web" où l'on ignore le résultat en cas d'affichage 8 bits, d'où la palette dite "web-safe" —si l'on fait abstraction du gamma différent— de 216 couleurs communes à Mac OS et Win, problème plus d'actualité sur nos écrans en millions de couleurs mais valide quand on prétend se préoccuper des vieilles configurations, justement les plus susceptibles d'afficher en 256 couleurs)

– non destructif contrairement au JPEG (et au GIF dans la mesure où supprimer 16276960 teintes sur les 2^24 disponibles pour n'en garder que 256, voire 216, est une sacrée putain de destruction quand l'image ne s'y prête pas), ce qui rend le PNG incomparablement meilleur par exemple pour les copies d'écran lorsque l'on veut éviter les artefacts de la compression JPEG (le boulot du GIF) tout en préservant les couleurs (le boulot du JPEG) en étant sûr de l'interprétation (ce qui n'est pas le cas du TIFF)

– disposant d'une transparence utilisable (le GIF a 1 "bit transparent", le PNG un vrai canal alpha sur 256 niveaux, ce que d'autres formats pourraient permettre mais non, soit qu'ils soient peu connus des logiciels, soit que leur traitement soit imprévisible — en gros les SGI et NeXt peuvent compter sur une couche alpha depuis des temps immémoriaux, mais le reste du monde non hors de Photoshop)

– proprement défini donc prévisible, à la différence du TIFF qui peut faire plein de choses mais est devenu au fil du temps un format fourre-tout (Tagged Image File Format signifie en gros qu'il contient des données diverses identifiées par des marqueurs, qui seront OU PAS connus du logiciel utilisé pour les ouvrir, sans compter les nombreuses variations même du format de base)

De plus il est trompeur de signaler que le PNG est "incompatible" avec les vieux navigateurs web sans préciser que cette incompatibilité est cependant moins prononcée que celle de HTML 4, CSS et JavaScript, que par ailleurs on plébiscite. Il paraît normal que les navigateurs antérieurs à la diffusion d'un format ne le lisent pas (et encore, voir plus loin), mais:

– pour les images cela pose peu de problèmes de mise en page, à la différence de l'incapacité des mêmes navigateurs à traiter du code récent: quand une image y manque, la page n'est pas bouleversée comme avec du DHTML, des CSS, ou des constructions par script dont le contenu peut carrément manquer ou planter

– si comme c'est courant on fait du coup l'effort de "renifler" le navigateur utilisé pour donner un contenu adapté à ses capacités, la question du PNG vs GIF ou JPEG ou pas d'images est plutôt plus facile à régler que celles concernant le rendu du code, qu'il s'agisse de fournir une alternative ou d'expliquer le problème à l'utilisateur

– certains navigateurs prétendument incapables d'afficher du PNG pourraient tout simplement si on le leur demandait (c'était le cas de certaines versions d'IE mac, dont j'ai découvert un jour qu'il avait la meilleure gestion PNG du moment, avec transparences, mais qu'il fallait que l'utilisateur lui explique lui-même qu'il savait ouvrir les png, en créant une entrée dans la liste de formats définis dans les préférences, typiquement M$: ne se laisse pas utiliser sans combattre)

– la plupart des autres navigateurs pourraient de même confier l'affichage des PNG au plug-in QuickTime

Tout ceci restreint le véritable problème aux utilisateurs affublés à la fois d'un vieux navigateur et d'un cerveau imperméable aux informations qu'un webmestre envisagerait de leur donner sur le sujet. Il est donc injuste de présenter ça comme un défaut du format PNG: c'est un CHOIX d'auteur entre se passer des avantages du PNG, prendre le risque de gêner des utilisateurs de vieilles configurations (qui sont forcément habitués à des problèmes sur le web), et faire l'effort de leur donner les informations qui pourraient résoudre ça pour le bénéfice de tout le monde.

Par ailleurs je viens de réaliser qu'une limite à NS 4.5 serait de la bobologie. Je comprends qu'on n'ait pas le temps ou l'envie de soigner les diabétiques s'il est plus rentable de s'occuper des rhumes, mais il est injuste de blâmer l'aspirine. En tout cas cette limite-là serait un peu absurde pour justifier le rejet du PNG. En effet elle consisterait à éviter des efforts à des utilisateurs qui POURRAIENT mettre à jour leur navigateur (en gros les configurations supportant NS 4.5 accepteraient un navigateur ultérieur) en abandonnant à leur sort les utilisateurs de versions antérieures qui eux ne le pourraient généralement pas sans changer carrément de système, ce que leur matériel souvent ne permet pas (sauf à oser un navigateur "alternatif" puisqu'iCab ramène le problème au temps nécessaire au rendu et tourne parfaitement sur mon SE/30 sous 7.5.5).

Comme assurer la compatibilité en n'oubliant personne passe par un design capable de se passer des images, ou proposant une alternative, ou informant sur la nature des problèmes quand les images sont nécessaires, le choix des formats revient finalement à ce qu'il est: prendre le plus adapté aux données, pas le plus "compatible" avec le lecteur, sans quoi on se remet tous au papier et on écrit en chinois.

Or il y a effectivement des données pour lesquelles PNG est le meilleur, et même pas rares du tout: quand on veut à la fois plus de 256 couleurs, pas d'artefacts perturbant les contours, pas de disparités de teintes ou de tramage aux jonctions (qui compliquent par exemple les découpes d'interfaces en morceaux), éventuellement transparence.

21)
Fabien Conus
, le 08.04.2004 à 20:30

Merci pour cette explication détaillée VRic. Je suis également un grand fan du PNG.

D'ailleurs, toutes les images de mes tests sont en PNG…sauf les agrandissements car IE ne sait pas ouvrir les PNG seuls (c'est-à-dire qui ne sont appelés via une balise <img>).

22)
VRic
, le 09.04.2004 à 07:35

Fabien Conus 08.04.2004 – 20h30
"D'ailleurs, toutes les images de mes tests sont en PNG…sauf les agrandissements car IE ne sait pas ouvrir les PNG seuls (c'est-à-dire qui ne sont appelés via une balise <img>)."

Pffff, j'étais naïf de croire qu'ils sauraient vraiment régler quelque chose d'aussi ardu (après tout ça doit faire moins de 5 ans que j'ai trouvé le problème et sa solution à 3 clics, laissons-leur le temps de faire comprendre le cas aux avocats chargés de nier).

Je viens de vérifier, ça le fait effectivement toujours dans IE 5.2.3, quels ânes. Mais attention: comme IE utilise et altère les préférences générales, il pourrait ne pas être le seul coupable ni le seul affecté, juste le plus bête (enfin, ça c'est une certitude, c'est le reste qu'il faudrait vérifier).

Donc voilà. Dans IE (mais pourquoi subir IE?), ouvrir les préférences
Prefs:Fichiers:Types de fichiers:
Cliquer sur le titre de la colonne "Extension" en haut à droite pour trier la liste par extension.
Chercher les lignes parlant de .png, sélectionner chacune et cliquer le bouton "Remplacer…"
Choisir "Afficher dans le navigateur" dans le menu "Comment manipuler:" situé en bas du dialogue apparu.
Voilà ça marche.
Quitter IE.
Relancer IE.
Voilà ça marche plus (sous X).
Se souvenir de l'autre bug marrant d'IE concernant le non-enregistrement et l'écrasement des prefs du système
Avoir la flemme de régler celui-là aussi.
Espérer qu'il n'a rien cassé de global et peut-être utiliser RCDefaultApp ou un de ses équivalents pour vérifier les réglages.
Insulter M$ et jeter IE qui est une grosse merde.
Découvrir le bonheur avec un meilleur navigateur (soit n'importe quel autre).

23)
VRic
, le 09.04.2004 à 08:40

Au fait Fabien, tu peux aussi contourner le problème côté auteur en allant pomper mes scripts dans l'humeur "Big Mac vs Tungsten".

Je voulais ouvrir les images dans des fenêtres distinctes (pour pouvoir les comparer) et les passer au 1e plan lors d'un clic ultérieur sur le lien si elles n'avaient pas été refermées. Mais ça résoud aussi très bien le problème IE/PNG : comme il n'y avait que 3 images, j'ai créé un mini fichier HTML fixe pour contenir chaque image, mais on peut le créer à la volée par script pour faire encore plus simple et universel, quoi que j'aie la flemme d'y réfléchir.

24)
Fabien Conus
, le 09.04.2004 à 09:45

En fait VRic, si ça ne tenait qu'a moi, je me ficherais complètement de IE, mais mon rédacchef me demande d'autre bon et généreux envers ces brebis égarées qui se servent encore de ce navigateur…

…alors j'obtempère.

De plus, si ces gens n'ont pas changé de navigateur, je peux encore moins leur demander d'aller changer les préférences que tu mentionnes.

Donc je vais continuer comme ça jusqu'à que le Grand Boss me donne l'autorisation de faire du PNG partout.

Au fait François, c'est quoi les statistiques maintenant ? Combien de visiteurs sont encore sous IE ?

25)
xldla
, le 19.05.2004 à 08:23

Bonjour, et bravo pour l'article.
Un petit lien, peut-être, à rajouter pour ceux qui veulent approfondir l'aspect cabiration : http://www.arnaudfrichphoto.com/

26)
xldla
, le 19.05.2004 à 08:24

Oups ! "Calibration" bien sûr (pas bien réveillé ce matin…)

27)
maika
, le 18.06.2004 à 10:47

A propos du PNG, celui ci avant de porter ce nom en portait un autre, mais je ne me souviens plus!!!
Est-ce PBF ou PBN??
merci de votre reponses!!!
URGENT

28)
Satellio
, le 18.06.2004 à 11:33

Bonjour Maika,

tu trouveras ici ( http://www.libpng.org/pub/png/pnghist.html ) une histoire quasi complète du format PNG, en anglais.

La réponse rapide à ta question est : PBF (Portable Bitmap Format).

—–
Tu dis : "j'essaie, mais j' peux pas m'en passer,
Plus c'est dur, plus ça me rassure".
Tu joues avec le feu, ce qui t'excite est dangereux.

29)
kenzo
, le 25.05.2005 à 14:26

salut a tous , je voudrais bien imprimer mon repertoire téléphonique de mon samsung d500 , mais impossible de l'ouvrir , car il est au format pnb !! avec quel programme peut on le lire ? merci davance a vous tous
kenzo

30)
Ladyalex
, le 26.05.2005 à 11:21

Kenzo, cette partie du site réunit les archives de Cuk.ch et donc peu de personnes la consulte. Va plutôt poser ta question sur http://www.cuk.ch -> forum, blues y est toujours et pourra peut-être te répondre !

31)
arto
, le 05.01.2006 à 10:24

Je ne connaissais pas ce site, mais je suis assez étonné de voir que cette page est en tout point identique à la page présente sur cette url : http://www.epfl.ch/repro/conseils/images-num/part1.htm

A remarquer aussi, eux ont pris la peine de faire une deuxième partie.
Quand on copie, il faut bien copier, sinon c'est ridicule.

32)
drazam
, le 05.01.2006 à 10:53

Tiens, en voilà un qui débarque…

LadyAlex, reste sage, il n'est que 10h du mat'…
__________________________________
signé encore ce "mudak" de drazam

33)
ToTheEnd
, le 05.01.2006 à 13:20

Et puis quand on ne voit pas que l'auteur est le même à l'EPFL qu'ici, et bien on ferme sa gueule pour avoir l'air moins con.

T

34)
arto
, le 10.01.2006 à 14:18

La connerie se traduit plus par la parole que par la pensée…

*va désormais regarder tout les auteurs de tout les sites pour éviter de se faire insulter gratuitement par des névrosés…*

Mes excuses pour mon erreur aux auteurs (mon message était finalement là pour défendre leur travail… pour le voir, il faut réfléchir un minimum). Pas aux autres.

35)
drazam
, le 10.01.2006 à 15:23

Tu te trompes, c'est une marque affectueuse de bienvenue ici.
__________________________________
signé encore ce "mudak" de drazam

36)
arto
, le 10.01.2006 à 16:17

Merci alors ^^.

37)
Franck
, le 10.01.2006 à 17:43

Tu vois TTE, avec un peu de douceur… ;-)

38)
drazam
, le 10.01.2006 à 19:20

L'est un poil bourru mais pô si méchant pour un sale capitaliste sans foi ni loi!
__________________________________
signé encore ce "mudak" de drazam

39)
arto
, le 11.01.2006 à 09:43

Brrr, ca fait froid dans le dos.