Sal­ling Cli­cker: votre té­lé­phone mo­bile ou PDA ren­contre le Mac

Pour ceux qui pré­sentent ré­gu­liè­re­ment des confé­rences avec sup­port Po­wer­Point ou Key­note, pour ceux qui re­gardent des DVDs in­sé­rés dans leur or­di­na­teur mais en­voyés vers un écran TV, pour ceux qui uti­lisent leur Mac comme une chaîne Hi-Fi… Fi­na­le­ment pour tous ceux qui sou­haitent contrô­ler leur ma­chine à (courte) dis­tance, il existe Sal­ling Cli­cker.

Ce lo­gi­ciel va connec­ter votre té­lé­phone por­table ou votre PDA avec votre or­di­na­teur, via la tech­no­lo­gie Blue­tooth ou, et c'est nou­veau, via Wi-Fi. Pour au­tant que vous pos­sé­diez un or­di­na­teur et un ap­pa­reil com­pa­tible avec lui, Sal­ling Cli­cker per­met un nombre d'ac­tions im­pres­sion­nant. Le lo­gi­ciel est com­posé de mo­dules en Ap­pleS­cript. De nom­breux mo­dules sont ins­tal­lés d'of­fice et d'autres sont dis­po­nibles sur le net. Évi­dem­ment, il est pos­sible de pro­gram­mer soi-même ses propres mo­dules grâce à l'édi­teur de scripts de Mac OS X.

C'est la ver­sion 3.0 de Sal­ling Cli­cker qui est tes­tée à l'oc­ca­sion de cet ar­ticle.

Uti­li­sa­teur de ce lo­gi­ciel de­puis de nom­breuses ver­sions, c'est pour moi un plai­sir que de le voir évo­luer et trans­for­mer les pé­ri­phé­riques non plus en simple té­lé­com­mandes, mais en vé­ri­tables ex­ten­sions de la ma­chine contrô­lée.

L'icône de Sal­ling­Cli­cker

Com­pa­ti­bi­lité

Les ver­sions pré­cé­dentes du lo­gi­ciel pro­po­saient une liste cor­recte mais pas pour au­tant im­pres­sion­nante d'ap­pa­reils com­pa­tibles. Avec cette nou­velle mou­ture, ce n'est pas moins de 90 té­lé­phones mo­biles et agen­das élec­tro­niques qui sont sup­por­tés. Je ne vais pas les énu­mé­rer tous ici, une liste conte­nant tous les ap­pa­reils com­pa­tibles est dis­po­nible sur le site de Sal­ling Cli­cker.

Dans le cadre de ce test, j'ai uti­lisé les ap­pa­reils sui­vants :

• Sony Erics­son K700i
• Palm Tungs­ten T2

Ces deux ap­pa­reils m'ac­com­pagnent tous les jours et me sont fort utiles. Ils sont tous les deux com­pa­tibles avec Cli­cker via Blue­tooth, et non via Wi-Fi. Je n'ai donc pas pu tes­ter la qua­lité des fonc­tions uti­li­sant cette deuxième norme. Tou­te­fois, vu le ré­sul­tat avec une connexion Blue­tooth moins ra­pide et de moins longue por­tée, il n'y a pas de rai­son de pen­ser que cela ne fonc­tionne pas au moins aussi bien via Wi-Fi.

Notez éga­le­ment que parmi les ap­pa­reils com­pa­tibles il n'y a pas que des agen­das tour­nant sous Pal­mOS. Des Po­cketPC sont pré­sents, par exemple.

Ins­tal­la­tion

Le pro­gramme d'ins­tal­la­tion ajoute un élé­ment aux Pré­fé­rences Sys­tèmes. C'est de­puis ce pan­neau que se­ront ef­fec­tuées toutes les opé­ra­tions de confi­gu­ra­tion du lo­gi­ciel.

Au­cune ins­tal­la­tion n'est né­ces­saire pour les té­lé­phones, par contre un lo­gi­ciel doit être ins­tallé sur les agen­das. Cette ins­tal­la­tion se fait di­rec­te­ment de­puis Sal­ling Cli­cker. Il suf­fit de lui in­di­quer le Palm et le lo­gi­ciel en­voie le .prc né­ces­saire.

Élé­ment in­dis­pen­sable au fonc­tion­ne­ment de Sal­ling Cli­cker avec un té­lé­phone, le ju­me­lage des ap­pa­reils doit être actif. Pas bien com­pli­qué, en fait, puisque les lo­gi­ciels in­té­grés à Mac OS X per­mettent en quelques clics de pré­sen­ter la ma­chine et les pé­ri­phé­riques.

Une fois cette opé­ra­tion faite, il est pos­sible de connec­ter le té­lé­phone au lo­gi­ciel sur le Mac par un élé­ment nou­vel­le­ment in­séré dans la barre des menus.

Pra­tique, ce menu. Un simple clic et votre té­lé­phone est connecté.

Construc­tion du menu

L'on­glet prin­ci­pal de Sal­ling Cli­cker per­met de mo­de­ler le menu qui sera vi­sua­lisé sur le té­lé­phone ou le PDA.

L'élé­ment des Pré­fé­rences Sys­tèmes de Sal­ling Cli­cker.

La construc­tion du menu dé­montre bien la sim­pli­cité gé­né­rale du lo­gi­ciel. Il suf­fit de faire glis­ser les élé­ments de la co­lonne de droite (com­po­sée de tous les mo­dules dis­po­nibles) vers la co­lonne de gauche, qui sera af­fi­chée sur le pé­ri­phé­rique. Les mo­dules sont clas­sés sui­vant l'ap­pli­ca­tion qu'ils concernent. Cer­tains per­mettent de contrô­ler l'ap­pli­ca­tion en en­tier, alors que d'autres ne pro­posent qu'une fonc­tion pré­cise, comme pas­ser à la chan­son sui­vante dans iTunes.

Les scripts four­nis d'ori­gine contrôlent les ap­pli­ca­tions sui­vantes :

Al­chemy TV Lec­teur DVD EyeTV iPhoto iTunes Key­note Mail

Net­News­Wire Pro Po­wer­Point Lec­teur Quick­Time Sal­ling Cli­cker Slim­Ser­ver Le sys­tème Lec­teur VLC

Ce que l'on nomme ici sys­tème est en fait toute une série de fonc­tions qui touchent di­rec­te­ment Mac OS X. On peut par exemple contrô­ler la sou­ris, ou­vrir ou fer­mer le ti­roir du lec­teur CD ou prendre une cap­ture d'écran.

Dans tous les cas, il faut noter que les pos­si­bi­li­tés des scripts sont énormes. Lorsque l'on choi­sit de contrô­ler le lec­teur mul­ti­mé­dia VLC, on ne va pas trou­ver play et pause, et basta. On y trouve :

• Mon­ter/bais­ser/cou­per le vo­lume
• Play/Pause
• Avan­cer/re­cu­ler de 10 se­condes
• Ou­vrir un fi­chier de film

Cette der­nière fonc­tion per­met de na­vi­guer dans les dos­siers Sé­quences, Do­cu­ments, Pu­blic et Bu­reau de l'uti­li­sa­teur, pour iden­ti­fier un film que l’on sou­haite vi­sion­ner.

Et cette di­ver­sité de com­mandes, on la re­trouve dans chaque script, ou presque.

Bien, re­ve­nons-en à notre menu per­son­na­li­sable :

Lorsque l'on pré­pare son fa­meux menu, il est pos­sible de confec­tion­ner soi-même sa dis­po­si­tion de com­mandes. Il suf­fit pour cela de sé­lec­tion­ner l'op­tion "In­sert Key­pad" pour af­fi­cher la fe­nêtre sui­vante.

Il faut alors choi­sir le type de pé­ri­phé­rique que l'on veut ajou­ter, puis de glis­ser les com­mandes sur les touches sou­hai­tées.

Rien de plus fa­cile que de créer son propre jeu de touches.

Sur cette image, vous voyez sur la gauche la liste des touches de mon té­lé­phone, et une liste de com­mandes dis­po­nibles pour iTunes. La liste de gauche s'adapte évi­dem­ment sui­vant l'ap­pa­reil que l'on sou­haite confi­gu­rer.

Pour ob­te­nir plus de scripts, il n'est pas for­cé­ment be­soin d'al­ler cher­cher loin sur le Web. Une com­mande in­terne à Sal­ling Cli­cker per­met d'ob­te­nir une liste de scripts ré­cem­ment vé­ri­fiés par Jonas Sal­ling, l'au­teur du lo­gi­ciel. Si cette liste ne vous suf­fit pas, une page est dé­diée aux scripts tiers sur la page of­fi­cielle du lo­gi­ciel.

Créa­tion de ses propres scripts

Puisque tous les mo­dules de Sal­ling Cli­cker fonc­tionnent grâce à Ap­pleS­cript, il est fa­cile pour les ha­bi­tués de ce lan­gage de créer leurs propres scripts.

L'édi­teur de script de Mac OS X

Il est éga­le­ment pos­sible d'édi­ter les scripts pré­sents dans l'ap­pli­ca­tion. On peut alors per­son­na­li­ser le com­por­te­ment des scripts à sa guise.

Les évé­ne­ments des té­lé­phones

Autres pos­si­bi­li­tés de Sal­ling Cli­cker, les phone events sont des scripts qui vont s'exé­cu­ter lors de cer­tains évé­ne­ments "vécus" par le té­lé­phone.

Il est par exemple pos­sible de cou­per le son d'iTunes lorsque l'on re­çoit un appel, ou d'af­fi­cher la carte de vi­site de la per­sonne qui nous contacte, pour au­tant que le té­lé­phone et le Car­net d'Adresses d'OS X soient syn­chro­ni­sés.

Parmi les évé­ne­ments pos­sibles, on a :

• Lors de la connexion ou dé­con­nexion du té­lé­phone
• Lorsque l'on s'éloigne ou s'ap­proche de la ma­chine (en gros, lorsque l'on quitte le rayon d'ac­tion Blue­tooth, ou quand on y re­vient)
• Lorsque l'on ef­fec­tue un appel, lorsque l'on en re­çoit un ou en­core lorsque l'on rac­croche.

Comme vous l'ima­gi­nez, en com­bi­nant ces évé­ne­ments avec les nom­breux scripts in­clus à Sal­ling Cli­cker, il y a de quoi faire !

L'évé­ne­ment uti­li­sant la proxi­mité du té­lé­phone est par­ti­cu­liè­re­ment utile. C'est vrai­ment agréable d'avoir iTunes qui se lance tout seul lorsque l'on rentre chez soi!

Pour cou­ron­ner le tout, lier les ac­tions et les évé­ne­ments ne pour­rait pas être plus simple.

Il suf­fit de glis­ser les ac­tions à droite vers le cadre de gauche
pour lier une ac­tion à un évé­ne­ment. Rien de plus simple !

PDA ? Voyons cela de plus près.

Comme je l'ai men­tionné plu­sieurs fois, Sal­ling Cli­cker est com­pa­tible avec une large gamme d'agen­das élec­tro­niques.

Cette ver­sion 3 du lo­gi­ciel pro­pose une vraie amé­lio­ra­tion de l'as­pect vi­suel sur le Palm.

Voici le menu de base au­quel on est confronté lorsque l'on uti­lise l'agenda
en connexion avec un or­di­na­teur pour la pre­mière fois.

C'est net­te­ment plus joli et soi­gné que la bête liste qui nous était im­po­sée dans la ver­sion pré­cé­dente !

Toutes les ac­tions de iTunes sont dis­po­nibles éga­le­ment sur le PDA.
Avec en bonus la fourre de l'al­bum qui ap­pa­raît lorsque l'on écoute une chan­son !

Lorsque l'on uti­lise un PDA pour contrô­ler iTunes, ne sont pas dis­po­nibles uni­que­ment les fonc­tions simples que vous voyez sur l'image ci-des­sus. On peut na­vi­guer parmi les ar­tistes par noms, par genre, ef­fec­tuer des re­cherches sur les noms ou com­po­si­teurs par exemple, mais aussi don­ner une note au titre en cours, créer des listes de lec­ture etc…

Uti­li­ser un PDA alors que l'on pos­sède un té­lé­phone com­pa­tible n'est pas in­dis­pen­sable. Les ac­tions sont les mêmes, mais il faut bien dire que le PDA est tout de même plus pra­tique pour cer­taines uti­li­sa­tions. Par exemple, le contrôle de la sou­ris est par­ti­cu­liè­re­ment pra­tique de­puis le Palm. De­puis le té­lé­phone, on est obligé d'uti­li­ser les bou­tons (évi­dem­ment) alors que de­puis le PDA il est pos­sible d'uti­li­ser l'écran comme un touch­pad d'or­di­na­teur por­table ou, pour ceux qui re­chignent à poser leurs doigts sur l'écran, le sty­let per­met de gui­der la sou­ris.

De plus, cer­taines fonc­tions gé­niales ne valent la peine, selon moi, que via un agenda élec­tro­nique. Quelles fonc­tions ? C'est jus­te­ment le sujet du cha­pitre sui­vant…

Les fonc­tions qui tuent

Oui, cer­taines fonc­tions de Sal­ling Cli­cker sont fran­che­ment gé­niales.

Pour que cette sec­tion de l'ar­ticle soit plus vi­suelle, les fonc­tions sui­vantes se­ront illus­trées d'images ti­rées de mon Palm. Sa­chez que les mêmes fonc­tions sont dis­po­nibles sur un té­lé­phone por­table. Il va de soi que sui­vant les ap­pa­reils la taille de l'écran va rendre l'af­fi­chage plus ou moins confor­table.

Je vais tout d'abord vous par­ler de la lec­ture des news et des emails sur le pé­ri­phé­rique. Fort pra­tique ! Deux mo­dules sont pré­sents, pour Apple Mail et pour Net­News­Wire Pro (pas Net­News­Wire Lite).

Grâce aux scripts pour Apple Mail, on peut don­ner l'ordre de ré­cu­pé­rer les mes­sages et les consul­ter. Pas pos­sible de ré­pondre pour l'ins­tant, mais il faut avouer que consul­ter ses emails ainsi est fort pra­tique.

L'af­fi­chage d'un email sur mon Palm

Les scripts pour Net­News­Wire sont éga­le­ment très pra­tiques. On peut les uti­li­ser pour lire toutes les news que le lo­gi­ciel aura ré­cu­pé­rées.

On choi­sit les sites qui nous in­té­ressent

… et on lit les nou­velles!

Une fois qu'une news est lue, elle peut être mar­quée ainsi dans le lo­gi­ciel et donc ne plus ap­pa­raître à lire lorsque l'on re­vient près de la ma­chine.

Mais le must n'est pas là.

LA nou­velle fonc­tion de Sal­ling Cli­cker en ver­sion 3, c'est la pos­si­bi­lité de contrô­ler toutes les ma­chines de votre ré­seau !

Ima­gi­nons une si­tua­tion simple : vous avez une ma­chine style G5-tour, dans un bu­reau de votre mai­son. Cette ma­chine est uti­li­sée par une par­tie de la fa­mille et contient la gi­gan­tesque col­lec­tion fa­mi­liale de mu­sique, au for­mat AAC dans iTunes. Elle en­voie les chan­sons sur la sté­réo du salon via Air­port et Air­Tunes. Une chouette pe­tite ins­tal­la­tion, qui vous per­met de gar­der votre pré­cieux Po­wer­book bien à l'abri des mains des en­fants !

Avec cette ins­tal­la­tion et un té­lé­phone por­table ou un PDA, vous pou­vez vous connec­ter via Blue­tooth à votre por­table, dans le salon, et via ce der­nier (le por­table, hein, pas le salon…) contrô­ler iTunes et votre col­lec­tion de mu­sique, sur le G5 du sous-sol !

C'est pas gé­nial, ça? Moi j'adore.

Grâce à une fonc­tion spé­ciale ré­seau, Sal­ling Cli­cker dé­couvre les autres co­pies du lo­gi­ciel tour­nant sur des ma­chines du ré­seau local. Un mot de passe pré­sent sur chaque copie per­met l'iden­ti­fi­ca­tion. Et pour pro­fi­ter de cette fonc­tion, nul be­soin d'ache­ter au­tant de li­cences du lo­gi­ciel que de ma­chines ! La li­cence nor­male de Sal­ling Cli­cker per­met l'ins­tal­la­tion sur 3 ma­chines uti­li­sées par le pro­prié­taire de la li­cence.

La par­tie ré­seau des pré­fé­rences de Sal­ling Cli­cker

Cette fonc­tion marche du ton­nerre. Et s'uti­lise avec la plus grande sim­pli­cité.

Un menu est ajouté en bas du menu per­son­na­lisé de Sal­ling Cli­cker. Il per­met de sé­lec­tion­ner une ma­chine pré­sente sur le ré­seau. Une fois la sé­lec­tion ef­fec­tuée, on re­trouve toutes les fonc­tions ha­bi­tuelles du lo­gi­ciel, si ce n'est qu'elles vont s'ap­pli­quer sur cette ma­chine.

Conclu­sion

Au­tant le dire tout de suite, Sal­ling Cli­cker est ex­cellent.

Il est simple d'uti­li­sa­tion, ne m'a posé au­cuns pro­blèmes lors de sa confi­gu­ra­tion et s'est avéré d'une sta­bi­lité et d'une pré­ci­sion par­faite. Une at­ten­tion par­ti­cu­lière est à por­ter aux bat­te­ries des pé­ri­phé­riques. Une fois que l'on s'ha­bi­tue à Sal­ling Cli­cker, on l'uti­lise très sou­vent et les bat­te­ries des PDA ou té­lé­phones voient leur au­to­no­mie bais­ser.

Cette nou­velle ver­sion ap­porte bon nombre de nou­veau­tés, et pas seule­ment le sup­port des ap­pa­reils Wi-Fi. L'in­ter­face re­ma­niée sur les ap­pa­reils et le contrôle de ma­chines en ré­seau montrent que Jonas Sal­ling ne se moque pas de ses clients !

Sa li­cence coûte 23.95 USD. Ce prix est tout à fait jus­ti­fié compte tenu des nom­breuses pos­si­bi­li­tés du lo­gi­ciel et, sur­tout, du fait que ses ac­tions et mo­dules n'ont pour li­mite que les ca­pa­ci­tés de pro­gram­meur de l'uti­li­sa­teur. Puisque toutes les ac­tions sont ba­sées sur Ap­pleS­cript, il suf­fit de se lan­cer dans ce lan­gage pour aug­men­ter d'au­tant les pos­si­bi­li­tés de Sal­ling Cli­cker. Les uti­li­sa­teurs qui ne pro­gramment pas pour­ront se ra­battre sur la page citée plus haut conte­nant tous les scripts dis­po­nibles pour le lo­gi­ciel.

Notez, puisque nous par­lons de coût, que la mise à jour en ver­sion 3.x est gra­tuite pour les uti­li­sa­teurs en­re­gis­trés d'une ver­sion pré­cé­dente !

Pour moi, Sal­ling Cli­cker est une vraie réus­site et mé­rite lar­ge­ment votre at­ten­tion, au moins le temps d'un essai ! À ce sujet, il est pos­sible d'es­sayer ce lo­gi­ciel gra­tui­te­ment en ef­fec­tuant 30 clicks avant d'ac­qué­rir la li­cence.