La vie n'est qu'une suite de point de sus­pen­sions, en effet. Que son voyage lui soit doux. Re­çois nos condo­léances les plus sin­cères.

=

La perte de quel­qu'un sans qui on exis­te­rait tout sim­ple­ment pas, le Cuk et moi-même, me rend pre­miè­re­ment ter­ri­ble­ment triste mais aussi re­con­nais­sant pour tout ce qu'elle m'a ap­pris, aimé et ap­porté. Merci grand-ma­man et re­pose en paix, j'es­père au­près de grand-papa.

Mes plus sin­cères condo­léances. Puisse t'elle re­po­ser en paix.
C'est dur Alz­hai­mer, ma grand mère en est morte aussi.

Mouais, bien mau­vais Noël cette année pour la fa­mille… C'est la pre­mière fois que je fête Noël sans elle :'-(
a+
Noé Cuneo

Je ne sais quoi dire, sinon mal­adroi­te­ment ex­pri­mer toutes mes condo­léances à la fa­mille Cuneo.

de tout coeur avec vous

Bon cou­rage à toute la fa­mille Cuneo. On pense fort à vous et on vous em­brasse tous.
—
GG

Les gens que nous avons aimés et qui nous ont aimés vi­vront pour tou­jours dans nos coeurs.
Toutes nos pen­sées vont vers vous.

Fa­mille Ca­plan

Mes condo­léances.

Fran­cois et Noé .. de tout coeur avec votre fa­mille ..
J'ai perdu mère en 2001 à la meme pé­riode, elle ve­nait d'avoir ses 80 ans .. BLUES

af­fec­tueu­se­ment

Je suis vrai­ment navré pour vous. Je vous adresse toutes mes sin­cères condo­léances.

Merci à tous pour vos mes­sages.

Et merde… :-(
Quand on a ap­pro­ché des gens tou­chés par cette pu­tain de ma­la­die, il ne faut pas que cela dure trop long­temps, sur­tout dans le stade "lé­gume".
J'en­gage le lec­teur qui sou­haite ap­pro­fon­dir la lec­ture du HS N°10 de la Re­cherche (Jan­vier 2003).
Alz­hei­mer, Cer­veau sans mé­moire
http://​www.​larecherche.​fr/​special/​hs/​somhs10.​html

Ayant perdu entre noël et nou­vel an 2000 , mon père, ma tante et même mon chien , je ne peux que dire , je com­prends le vide que cela laisse , mal­heu­reu­se­ment il re­vient par la suite chaque année pour les fêtes.
De tout coeur avec vous .

Luc

"Un seul être vous manque, et tout est dé­peu­plé"…
Rien à faire, on ne peut faire la fête et sou­rire sauf pour évi­ter d'af­fi­cher un masque de tris­tesse.
Les ab­sents sont loin d'avoir tou­jours tort.

Ami­cales pen­sées.
PB

Mes sin­cères condo­léances,
Ami­ca­le­ment,
Gam.

Que dire…

Sin­cères condo­léances,, de tout cœur avec vous.

Que dire de­vant la dis­pa­ri­tion d'un proche sinon que ce que l'on vi­vait avec lui se mue en sou­ve­nirs. Un petit bout d'éter­nité.

Ma bonne grand-mère nous concoc­tait, dans le four de sa cui­si­nière à bois, à cuis­son lente, un flan unique, mer­veilleu­se­ment doré et qui ex­ha­lait des par­fums d'œufs su­crés mêlés d'ef­fluves de va­nille.
Cette simple évo­ca­tion me rap­proche d'elle. Ce par­fum in­imi­table est en­core là, dans ma mé­moire, et dé­clenche tou­jours chez moi un sou­rire de conten­te­ment.

Nulle doute que votre grand-mère aura gravé en vous de ces pe­tits mor­ceaux de vie qui re­sur­gissent et ré­chauffent le cœur.

"Ne pleu­rons pas de l'avoir per­due,mais ré­jouis­sons nous de l'avoir connue".

Sou­tien "vir­tuel",mais ce­pen­dant sin­cère..
Bien à vous.

Sin­cères condo­léances.
Quand un être cher nous quitte, il reste l'ab­sence et les sou­ve­nirs heu­reux du temps passé avec.

Tout cela est très émou­vant.
Il est im­por­tant et juste de faire part aussi de ses souf­frances.
On se rend compte que der­rière chaque "pseudo", il y a un coeur qui bat, et cela ren­force et rend plus hu­maines ces "com­mu­nau­tés" in­ter­net
Jean Coc­teau di­sait: "la mort, c'est une nais­sance à l'en­vers."
Quoi que l'on sache sur la "vie après la mort", cela n'em­pèche pas de vivre dif­fi­ci­le­ment la sé­pa­ra­tion d'avec un être cher.
On peut lire cer­tains ou­vrages de Ru­dolf Stei­ner. Cela aide beau­coup.
Quant à la ma­la­die d'Alz­hei­mer, il est in­té­res­sant de jeter un oeil sur ce site:
http://​biogassendi.​ifrance.​com/​biogassendi/​alzheimer.​htm

Merci de nous avoir fait part de ce "dé­part".
Puissent tous ces mes­sages et té­moi­gnages t'ai­der à vivre ces mo­ments dif­fi­ciles.
Avec l'ami­tié

Toutes mes condo­léances.
Pense fort à elle et les sou­ve­nirs res­sur­gi­ront…

Ger­Faut

Oka­zou, moi, si je dois gar­der un sou­ve­nir culli­naire de ma grand-ma­man, ce sont les pommes de terre rô­ties, celles jus­te­ment qu'elle nous a fait à Noël jus­qu'à ce qu'elle ne puisse plus.

Elle fai­sait tout bien, mais les pommes de terre rô­ties, c'était trop.

Ça fait 35 ans que j'es­saie de faire pa­reil (ben ouais, j'ai com­mencé à faire à man­ger à 10 ans), j'ai tout es­sayé. Ja­mais je n'y suis ar­rivé.

Et je n'y ar­ri­ve­rai ja­mais…

Toute mes sin­cères condo­léances à la fa­mille Cunéo. Je dois dire que cette année j'ai en­core pu pas­ser Noël avec ma grand-ma­man, bien que main­te­nant c'est en fau­teuil rou­lant…et c'est une chance in­ouïe !
Une grand-ma­man re­pré­sente tel­le­ment de choses qu'il se­rait im­pen­sable de vou­loir les écrire ici. Mais en tout cas je suis vrai­ment de tout coeur avec vous.

Bien ami­ca­le­ment, Simon

sin­cères condo­léances aux Cunéo.

Je pense fort à vous, les Cu­neos…

Comme d'autres, je suis passé par là aussi. Toutes mes condo­léances.

An­toine.

Toutes mes sin­cères condo­léances à la fa­mille Cunéo.
Ami­ca­le­ment,

=Ar­nold=

Tu ne vou­drais pas, mais tu le fais quand même.

Tu ré­veilles nos cha­grins en équi­libre in­stable sur le bord de l'abîme.

Ces dis­pa­ri­tions qui laissent en­tre­voir l'ir­ré­mé­diable.

Nos aieuls sont comme une écorce qui nous pro­tège et nous ras­sure, mais chaque mé­moire qui se perd nous dé­pouille et nous ex­pose.
Enfin, c'est to­ta­le­ment nu en face de l'abîme que nous échoue­ront et pour­tant nous se­ront cette écorce que nous avons perdu…

Je n'ai plus que ma mère au­tour de moi, et par­fois je fris­sone, alors je me ré­chauffe à mes en­fants.
Dans ces mo­ments là, je sent bien qu'il n'y a au­cune écorce, aucun de­dans ni de­hors, aucun avant ni après, mais tou­jours un re­com­men­ce­ment.

Le cycle né­ces­saire d'un mys­tère qui rend toute choses égales de­vant la vie.

Adieu ou Ailleurs…

les­tan